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  • Les prix du pétrole stoppent une baisse de trois jours suite à la chute des stocks de brut aux États-Unis

    Les prix du pétrole stoppent une baisse de trois jours suite à la chute des stocks de brut aux États-Unis

    Les prix du pétrole ont augmenté lors des échanges asiatiques jeudi, mettant fin à une série baissière de trois jours après la publication de données américaines montrant une baisse des stocks de brut plus importante que prévu, signalant une offre resserrée. Cependant, les investisseurs restent prudents en attendant de possibles nouvelles annonces de tarifs douaniers américains.

    À 21h35 ET (01h35 GMT), les contrats à terme sur le Brent échéance septembre ont progressé de 0,6 % à 68,94 dollars le baril, tandis que ceux sur le West Texas Intermediate (WTI) ont gagné 0,8 % à 66,92 dollars le baril.

    En début de semaine, le pétrole avait chuté jusqu’à 4 % en trois séances après que le président américain Donald Trump a renoncé à une action immédiate contre la Russie, accordant à la place un délai de 50 jours pour mettre fin au conflit en Ukraine.

    Les stocks de brut américains chutent plus que prévu – EIA

    Selon le rapport de l’U.S. Energy Information Administration (EIA) publié mercredi, les stocks de pétrole brut ont diminué de 3,9 millions de barils pour s’établir à 422,2 millions de barils pour la semaine se terminant le 11 juillet 2025. Cette baisse dépasse les prévisions des analystes, qui tablaient sur un recul de 1,8 million de barils, reflétant un resserrement des conditions du marché.

    Le taux d’utilisation des raffineries est resté élevé, avec environ 93,9 % de la capacité disponible en fonctionnement. Malgré la baisse des stocks de brut, les stocks d’essence ont augmenté de 3,4 millions de barils, tandis que ceux de distillats ont progressé de 4,2 millions de barils.

    Un débit soutenu des raffineries combiné à une hausse des importations a contribué à resserrer l’équilibre de l’offre intérieure de brut, soutenant les prix.

    Les investisseurs évaluent les risques tarifaires dans un contexte de tensions commerciales

    Le président Trump a annoncé mercredi son intention de notifier plus de 150 pays de nouveaux tarifs dans le cadre de sa politique commerciale en cours. Il a déclaré aux journalistes à la Maison Blanche que tous les pays concernés seraient soumis aux mêmes tarifs, précisant que la plupart sont de petites économies avec un volume commercial limité.

    Cette annonce fait suite à la menace récente de Trump d’imposer dès le 1er août une taxe de 30 % sur les importations en provenance de l’Union européenne, une mesure jugée inacceptable par les responsables européens et susceptible de perturber les échanges entre deux des plus grands marchés mondiaux.

    Selon des rapports, la Commission européenne se prépare à riposter avec des droits de douane sur des produits américains d’une valeur de 84,1 milliards de dollars (72 milliards d’euros) en cas d’échec des négociations avec Washington.

    Malgré certains signes d’apaisement des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, les investisseurs restent prudents, craignant que l’escalade tarifaire ne freine la demande pétrolière et la croissance économique mondiale.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les marchés européens progressent dans un flot de résultats ; l’IPC sous surveillance

    Les marchés européens progressent dans un flot de résultats ; l’IPC sous surveillance

    Les indices européens ont progressé jeudi matin, les investisseurs analysant une forte vague de résultats d’entreprises tout en suivant les négociations commerciales.

    À 07h15 GMT, le DAX allemand gagnait 0,7%, le CAC 40 français grimpait de 1,2% et le FTSE 100 britannique prenait 0,4%.

    Le sentiment sur les marchés européens avait été prudent en début de semaine, après que le président américain Donald Trump a annoncé l’imposition de droits de douane de 30% sur les importations européennes dès août. Toutefois, ses propos mercredi ont laissé entrevoir la possibilité d’un accord prochain. Trump a indiqué qu’un accord avec l’Inde était proche et qu’un accord avec l’Europe pourrait aussi être conclu.

    Ces déclarations sont intervenues alors que le responsable du commerce de l’UE, Maros Sefcovic, se rendait à Washington pour discuter des tarifs.

    Publicis relève ses prévisions ; avalanche de résultats

    La séance de jeudi est marquée par une pluie de résultats trimestriels de grandes entreprises européennes. Notamment, Publicis (EU:PUB) a relevé ses prévisions de croissance organique annuelle après des résultats du deuxième trimestre meilleurs que prévu, renforçant la confiance des investisseurs.

    Novartis (NYSE:NVS) a enregistré une hausse de 24% de son bénéfice net au deuxième trimestre, portée par les ventes de traitements clés comme Kisqali et Entresto, notamment aux États-Unis.

    À l’inverse, Volvo Car (USOTC:VOLAF) a vu son bénéfice opérationnel ajusté chuter au deuxième trimestre, impacté par la faiblesse de la demande et les tarifs douaniers.

    Nordea Bank (TG:04Q) a publié un bénéfice net en baisse de 6%, sous la pression de la faiblesse des taux directeurs et de la volatilité des marchés financiers.

    Par ailleurs, ABB (TG:ABJ) a réalisé un record de prises de commandes trimestrielles, soutenu par la forte demande américaine et la vente de produits destinés aux centres de données liés à l’intelligence artificielle.

    Plus tôt, Taiwan Semiconductor Manufacturing (NYSE:TSM) a annoncé une forte progression de son bénéfice net au deuxième trimestre, grâce à une demande soutenue en puces AI, ce qui a renforcé le sentiment sur le secteur technologique.

    L’attention se tourne également vers les États-Unis, où plusieurs résultats très attendus sont publiés, notamment ceux de Netflix (NASDAQ:NFLX).

    Focus sur l’inflation et les salaires

    Plus tard dans la journée, les marchés attendent la publication finale de l’IPC de la zone euro pour juin, qui devrait confirmer une inflation annuelle à 2,0%, en hausse par rapport à 1,9% en mai.

    Au Royaume-Uni, les données ont montré une croissance des salaires moyens hors primes de 5,0% sur trois mois à fin mai, légèrement supérieure aux attentes, mais le marché du travail semble se refroidir.

    Le pétrole se stabilise après une forte chute

    Les cours du pétrole se sont stabilisés jeudi après trois jours de baisse, soutenus par des indicateurs économiques positifs chez les principaux consommateurs mondiaux.

    À 03h15 ET, le Brent reculait légèrement de 0,1%, à 68,44 dollars le baril, tandis que le WTI américain restait stable à 66,38 dollars.

    La dynamique a été également soutenue par des données de croissance chinoises plus fortes que prévu. Par ailleurs, l’Energy Information Administration américaine a rapporté une baisse des stocks de brut de 3,9 millions de barils la semaine dernière, à 422,2 millions, indiquant une activité accrue des raffineries et une demande en hausse.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Le CAC 40 rebondit au-dessus des 7 800 points, porté par des résultats solides et un ton plus apaisé de Trump

    Le CAC 40 rebondit au-dessus des 7 800 points, porté par des résultats solides et un ton plus apaisé de Trump

    La Bourse de Paris a démarré la séance de jeudi en forte hausse, mettant fin à une série de quatre replis consécutifs. Le CAC 40 gagnait 1 % en début de séance pour atteindre 7 802 points, soutenu par des résultats d’entreprises supérieurs aux attentes et un climat politique un peu plus détendu aux États-Unis.

    Après avoir perdu près de 200 points depuis les sommets de la semaine dernière, l’indice parisien retrouve de l’élan, porté par des signaux encourageants tant sur le plan économique que politique. Le ton plus mesuré de Donald Trump — notamment à l’égard du président de la Fed, Jerome Powell — a contribué à restaurer l’appétit pour le risque.

    Les marchés avaient vacillé mercredi suite à des rumeurs selon lesquelles Trump envisagerait de limoger Jerome Powell, faisant craindre de nouvelles turbulences à la Réserve fédérale. Mais le président américain a clarifié la situation dans une interview diffusée mercredi soir, déclarant qu’il n’avait pas l’intention immédiate de le remplacer — tout en le critiquant pour ne pas avoir abaissé les taux d’intérêt plus rapidement, affirmant que Powell « coûte très cher au pays ». Cette mise au point a rassuré les marchés obligataires et renforcé le dollar, sans provoquer de volatilité excessive.

    Sur le front commercial, Trump a également indiqué que les négociations avec l’Inde avançaient rapidement et qu’un accord avec l’Union européenne pourrait également être conclu prochainement. Dans un contexte encore fragile, ces signes d’apaisement suffisent à ranimer la tendance haussière, aussi bien à Paris qu’à Wall Street. La Bourse de New York avait déjà rebondi mercredi soir, avec des hausses modérées du S&P 500, du Dow Jones et du Nasdaq, soutenues par la résilience des publications d’entreprises.

    Mais le principal moteur du rebond parisien ce jeudi provient de résultats impressionnants d’acteurs majeurs du CAC 40, à savoir Legrand (EU:LR) et Publicis (EU:PUB).

    Legrand a surpris positivement les marchés avec une croissance organique de son chiffre d’affaires de 9 % au premier semestre, et une accélération à +10,1 % au deuxième trimestre, principalement grâce à la forte demande dans les centres de données. Fort de cette dynamique, le groupe a relevé ses objectifs annuels, visant désormais une croissance hors effet de change comprise entre +10 % et +12 %, contre +6 % à +10 % précédemment. La réaction du marché ne s’est pas fait attendre : l’action Legrand bondissait de plus de 8 %, signant la plus forte hausse de l’indice.

    Publicis a également rassuré les investisseurs avec un deuxième trimestre supérieur aux attentes, affichant une progression de 10 % de son chiffre d’affaires total et une croissance organique de 5,9 %. Le groupe de communication continue de gagner des parts de marché et de décrocher de nouveaux contrats, aidé par une diversification géographique et sectorielle efficace. Publicis anticipe désormais une croissance organique proche de 5 % pour l’ensemble de l’année, malgré les incertitudes macroéconomiques. Le titre gagnait 2 % ce matin.

    La séance est également rythmée par plusieurs publications économiques majeures attendues dans la journée. Les investisseurs surveillent notamment les ventes au détail de juin, les inscriptions hebdomadaires au chômage et l’indice manufacturier de la Fed de Philadelphie aux États-Unis. En Europe, l’inflation de la zone euro pour le mois de juin sera publiée en fin de matinée — un indicateur clé pour anticiper les prochaines décisions de la Banque centrale européenne.

    En toile de fond, la saison des résultats trimestriels bat son plein, avec des annonces très attendues ce jeudi de la part de Netflix (NASDAQ:NFLX), PepsiCo et Travelers. L’enjeu est de confirmer — ou d’infirmer — la capacité des grandes entreprises à résister face aux défis actuels : pressions inflationnistes persistantes, tensions commerciales et incertitudes politiques.

    Après une période de consolidation marquée par un manque de direction claire, le CAC 40 semble retrouver une dynamique haussière. Mais dans un climat toujours volatil, cette progression pourrait vite être remise en question, au gré des prochaines publications économiques ou d’un simple tweet présidentiel mal interprété.

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  • Le dollar cède un peu de terrain en attendant des données sur l’inflation plus claires

    Le dollar cède un peu de terrain en attendant des données sur l’inflation plus claires

    Le dollar américain a légèrement reculé mercredi, rompant avec sa récente tendance haussière, alors que les marchés digèrent les données sur l’inflation des prix à la consommation et attendent un rapport sur les prix à la production pour mieux évaluer l’impact des tarifs douaniers sur l’économie.

    À 04h55 ET (08h55 GMT), l’indice du dollar, qui mesure la performance du billet vert par rapport à un panier de six principales devises, a baissé de 0,1 % à 98,205, après avoir atteint un sommet d’un mois lors de la séance précédente.

    Le dollar attend les données sur le PPI après des signes d’inflation persistante

    Les données publiées mardi ont montré que les prix à la consommation aux États-Unis ont augmenté de 0,3 % en juin, marquant la plus forte hausse mensuelle depuis janvier. Les économistes attribuent cette progression à l’escalade des droits de douane imposés sous l’administration Trump.

    La Réserve fédérale (Fed) a maintenu ses taux d’intérêt stables, adoptant une position attentiste pour observer l’évolution de l’inflation. Le président Jerome Powell avait prévu que les effets des tarifs se feraient sentir au cours de l’été, ce qui semble désormais se confirmer.

    Les analystes de ING expliquent : « Le retour à la réalité d’hier concernant les spéculations sur des baisses de taux de la Fed pourrait avoir un effet durable en relevant le seuil pour une révision accommodante, et nous estimons donc que les risques restent orientés vers un dollar plus fort à partir de maintenant. »

    L’attention se porte désormais sur l’indice des prix à la production (PPI), dont la publication est prévue plus tard dans la journée, et qui pourrait fournir davantage d’indications sur l’évolution des pressions inflationnistes.

    « On s’attend à ce que les marchés réagissent à toute surprise, bien que le consensus soit déjà positionné pour une hausse modérée de 0,2 % en glissement mensuel tant pour le PPI global que pour le PPI de base. »

    L’euro et la livre sterling rebondissent après des pertes

    Côté européen, l’EUR/USD a gagné 0,2 % à 1,1621, rebondissant après un plus bas de trois semaines atteint lors de la séance précédente. Ce rebond a été soutenu par les propos de Joachim Nagel, membre du directoire de la BCE.

    Dans une interview accordée au quotidien économique Handelsblatt, Nagel a déclaré qu’une « main ferme » était nécessaire pour gérer l’incertitude provoquée par la dernière menace tarifaire américaine. Il a ajouté que l’impact sur les prix de l’environnement géopolitique et du conflit commercial avec les États-Unis était *« extrêmement incertain ». *

    La Banque centrale européenne avait indiqué, après sa réunion de juin, qu’elle était susceptible de maintenir ses taux d’intérêt inchangés lors de sa prochaine réunion prévue la semaine suivante.

    Entre-temps, la livre sterling a enregistré une légère hausse, le taux de change GBP/USD progressant de 0,1 % à 1,3392, après que l’inflation au Royaume-Uni a augmenté de manière inattendue à 3,6 % en juin – son plus haut niveau en plus d’un an.

    Les analystes de ING expliquent : « La livre s’est appréciée modestement après la publication. Les risques liés aux chiffres de l’emploi de demain empêchent probablement une réévaluation plus agressive des anticipations hawkish sur la courbe Sonia, ce qui limite par conséquent les gains de la GBP. »

    « Les marchés continuent de prévoir deux baisses de taux d’ici la fin de l’année, mais la tendance récente est plutôt à une politique plus accommodante. »

    Les devises asiatiques reprennent un peu de terrain

    En Asie, les devises locales ont montré de légers signes de reprise après les pertes enregistrées la veille suite aux données américaines. Le dollar face au yen japonais (USD/JPY) a reculé de 0,1 % à 148,82, corrigeant ainsi partiellement une hausse d’environ 1 % la nuit précédente.

    Le dollar australien (AUD/USD) a gagné 0,1 % à 0,6521, tandis que le yuan chinois (USD/CNY) a progressé de 0,1 % à 7,1770, indiquant une stabilisation des marchés dans la région asiatique.

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  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens hésitent face aux inquiétudes commerciales et aux résultats décevants

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens hésitent face aux inquiétudes commerciales et aux résultats décevants

    Les principales bourses européennes ont affiché une orientation incertaine mercredi, après trois séances consécutives de repli. Le climat d’investissement reste prudent, en raison des tensions commerciales persistantes et de résultats d’entreprises jugés décevants, notamment ceux d’ASML Holding NV et de Renault SA.

    Les investisseurs ont également réagi à des données montrant une hausse inattendue de l’inflation au Royaume-Uni en juin. L’indice des prix à la consommation a progressé de 3,6 % sur un an, après une hausse de 3,4 % en mai, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis janvier 2024. Cette accélération est principalement due à l’augmentation des coûts des transports et de l’alimentation.

    Malgré ces incertitudes, le DAX allemand gagnait 0,5 %, tandis que le FTSE 100 britannique avançait de 0,3 %. Le CAC 40 français, lui, évoluait sans grande variation.

    Côté entreprises :

    • Kenmare Resources (LSE:KMR) a reculé après avoir confirmé être en ligne avec ses objectifs de production et de coûts pour 2025.
    • Stellantis (BIT:STLAM) a chuté après l’abandon de son programme de développement de véhicules à hydrogène, en raison de l’insuffisance des infrastructures de ravitaillement et d’un manque de soutien incitatif.
    • ASML Holding (EU:ASML) a fortement baissé après avoir déclaré que les incertitudes liées aux droits de douane américains pourraient compromettre ses perspectives de croissance pour 2026.
    • AstraZeneca (LSE:AZN) a perdu du terrain suite à l’échec en phase avancée de son traitement expérimental contre une maladie rare des cellules plasmatiques.
    • Renault (EU:RNO) a plongé après avoir abaissé ses prévisions pour 2025 et annoncé la nomination d’un PDG intérimaire.

    À contre-courant :

    • Richemont (TG:RITN) a progressé après avoir publié un chiffre d’affaires trimestriel supérieur aux attentes.
    • Antofagasta (LSE:ANTO) a également grimpé suite à une hausse de 11 % de sa production de cuivre au premier semestre 2025.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street devrait ouvrir en hausse, portée par le ralentissement de l’inflation et de bons résultats trimestriels

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street devrait ouvrir en hausse, portée par le ralentissement de l’inflation et de bons résultats trimestriels

    Les contrats à terme sur les indices américains indiquent une ouverture en hausse ce mercredi, les investisseurs étant encouragés par des données d’inflation plus modérées et des résultats d’entreprises meilleurs que prévu.

    Les futures ont progressé après la publication d’un rapport du Département du Travail révélant que les prix à la production sont restés stables en juin. L’indice des prix à la production pour la demande finale n’a pas bougé, après une hausse de 0,3 % en mai, révisée à la hausse.

    Les économistes tablaient sur une augmentation de 0,2 %, contre une hausse de 0,1 % initialement rapportée pour le mois précédent. Sur un an, la hausse des prix à la production a ralenti à 2,3 %, contre 2,7 % en mai, également révisé. Les analystes anticipaient un recul à 2,5 %.

    L’ambiance positive est également soutenue par de bons résultats. Le titre Johnson & Johnson (NYSE:JNJ) gagnait 2,1 % en préouverture après avoir annoncé des résultats supérieurs aux attentes pour le deuxième trimestre et relevé ses prévisions annuelles.

    Bank of America (NYSE:BAC) a également dépassé les attentes du marché, entraînant le secteur bancaire vers le haut. Goldman Sachs (NYSE:GS) et Morgan Stanley (NYSE:MS) ont eux aussi publié de solides performances trimestrielles.

    Mardi, les actions ont d’abord grimpé avant de perdre de l’élan. Le Nasdaq a terminé en hausse de 37,47 points (+0,2 %) à un record de 20.677,80. Le S&P 500 a cédé 24,80 points (-0,4 %) à 6.243,76, tandis que le Dow Jones a chuté de 436,36 points (-1,0 %) à 44.023,29.

    Le secteur technologique, notamment les semi-conducteurs, a été en vedette. L’indice des semi-conducteurs de Philadelphie a progressé de 1,3 %, atteignant son plus haut niveau de clôture en un an. Nvidia (NASDAQ:NVDA) a grimpé de 4,0 % après avoir indiqué qu’elle reprendra “bientôt” les ventes de ses puces H20 AI à la Chine.

    “Le gouvernement américain a assuré à NVIDIA que des licences seront accordées, et NVIDIA espère commencer les livraisons prochainement,” a indiqué la société dans un communiqué.

    En revanche, les valeurs du secteur immobilier ont fortement chuté, l’indice du secteur résidentiel de Philadelphie ayant perdu 3,3 %. Les titres du secteur pétrolier ont également reculé, l’indice des services pétroliers abandonnant 3,1 %. Les secteurs bancaire, pharmaceutique et biotechnologique ont aussi subi des pertes.

    Plus tôt dans la journée, les marchés avaient réagi favorablement à un autre rapport du Département du Travail montrant une hausse conforme des prix à la consommation de 0,3 % en juin, après une progression de 0,1 % en mai.

    Le taux d’inflation annuel a atteint 2,7 % contre 2,4 % précédemment, dépassant légèrement les attentes de 2,6 %. L’inflation sous-jacente, qui exclut l’alimentation et l’énergie, a augmenté de 0,2 %, en deçà des 0,3 % attendus.

    Malgré l’amélioration du contexte inflationniste, les inquiétudes liées aux tensions commerciales déclenchées par les politiques protectionnistes du président Donald Trump continuent de peser sur les marchés.

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  • DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes reculent alors que l’inflation et les résultats d’entreprises préoccupent les investisseurs

    DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes reculent alors que l’inflation et les résultats d’entreprises préoccupent les investisseurs

    Les marchés boursiers européens ont légèrement baissé mercredi, les inquiétudes persistantes concernant l’inflation combinées aux nouvelles publications de résultats d’entreprises tempérant le moral des investisseurs au début de la saison des résultats.

    À 07h05 GMT, l’indice allemand DAX a perdu 0,4%, le CAC 40 français a reculé de 0,3% et le FTSE 100 britannique a cédé 0,1%.

    Les tensions commerciales pèsent sur le moral

    La confiance des investisseurs en Europe a été affectée cette semaine après l’annonce du président américain Donald Trump de tarifs douaniers de 30% sur les importations en provenance de l’Union européenne, applicables dès août.

    Les autorités européennes restent optimistes quant à la possibilité d’éviter ces droits avant la date limite, préservant ainsi la relation commerciale bilatérale d’environ 1,7 trillion de dollars. Toutefois, l’incertitude demeure forte.

    Cette incertitude a impacté les prévisions de bénéfices des entreprises européennes, avec une baisse moyenne attendue de 0,7% en glissement annuel pour le deuxième trimestre, pire que le recul de 0,2% anticipé la semaine dernière, selon les données LSEG I/B/E/S.

    Les publications d’entreprises continuent

    ASML (EU:ASML), leader mondial des équipements pour semi-conducteurs, a dépassé les attentes de commandes au deuxième trimestre, mais a averti que la croissance pourrait ralentir en 2026.

    Le géant du luxe Richemont, propriétaire de Cartier et Van Cleef & Arpels, a affiché des revenus supérieurs aux attentes au premier trimestre, portés par une forte demande dans le segment bijoux, bien que les pressions sur les marges restent une source d’inquiétude.

    La banque suédoise Handelsbanken (LSE:0R7S) a publié une baisse de 12% de son bénéfice opérationnel par rapport au trimestre précédent, en raison de revenus d’intérêts nets plus faibles et de pertes sur opérations de trading.

    Aux États-Unis, JPMorgan Chase (NYSE:JPM) et Citigroup (NYSE:C) ont lancé la saison des résultats avec des réactions mitigées du marché mardi. D’autres résultats bancaires sont attendus, notamment ceux de Goldman Sachs (NYSE:GS), Morgan Stanley (NYSE:MS) et Bank of America (NYSE:BAC). Johnson & Johnson (NYSE:JNJ) fournira par ailleurs davantage d’informations sur les tendances de consommation.

    L’inflation reste au centre des préoccupations

    L’inquiétude des investisseurs face à l’inflation persiste après des données américaines sur les prix à la consommation supérieures aux attentes, publiées mardi.

    Au Royaume-Uni, l’inflation annuelle des prix à la consommation a atteint 3,6% en juin, un plus haut en plus d’un an, selon les chiffres publiés mercredi.

    L’attention se porte désormais sur les données sur l’inflation dans l’industrie manufacturière américaine, attendues plus tard dans la journée, alors que les acteurs du marché cherchent des indications sur le calendrier de la prochaine baisse potentielle des taux par la Réserve fédérale.

    Le pétrole rebondit grâce aux prévisions optimistes de l’OPEP

    Les prix du pétrole ont augmenté mercredi après deux jours de baisse, soutenus par les confirmations de l’OPEP concernant une demande mondiale robuste.

    À 03h05 ET, les contrats à terme sur le Brent ont progressé de 0,3% à 68,89 dollars le baril, tandis que les contrats sur le West Texas Intermediate américain ont gagné 0,4% à 66,80 dollars le baril.

    Ce rebond fait suite à une réévaluation des risques d’approvisionnement après les menaces de Trump d’imposer des tarifs sur le pétrole russe.

    L’OPEP a réaffirmé ses prévisions optimistes de demande de pétrole pour 2025 et 2026, soulignant les attentes d’une croissance économique plus forte que prévu au second semestre, malgré les tensions commerciales persistantes.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les prix de l’or reprennent des couleurs après la hausse de l’inflation américaine qui renforce le dollar et pèse sur les métaux

    Les prix de l’or reprennent des couleurs après la hausse de l’inflation américaine qui renforce le dollar et pèse sur les métaux

    Les prix de l’or ont légèrement augmenté lors de la séance asiatique de mercredi, récupérant une partie des pertes précédentes après des données américaines sur l’inflation à la consommation supérieures aux attentes, ce qui a renforcé le dollar et réduit les espoirs d’une baisse prochaine des taux d’intérêt.

    Les autres métaux précieux ont également rebondi après des reculs récents. Le platine et l’argent, qui avaient récemment surperformé l’or, ont cédé une partie de leurs gains cette semaine alors que les investisseurs ont pris des bénéfices.

    La demande refuge pour l’or est restée soutenue face aux préoccupations persistantes concernant les tarifs commerciaux du président Donald Trump. L’incertitude croissante autour de l’indépendance de la Réserve fédérale a aussi renforcé la demande d’or, alors que la pression politique s’accroît pour le départ du président Powell. Les tensions géopolitiques entre la Russie et l’Ukraine ont également soutenu la demande pour le métal.

    L’or au comptant a gagné 0,4 % à 3 339,26 dollars l’once, tandis que les contrats à terme sur l’or de septembre ont progressé de 0,3 % à 3 345,40 dollars l’once en début de séance mercredi (heure de l’Est).

    L’or reste dans une fourchette alors que d’autres métaux montrent de la volatilité

    Malgré ces gains modestes, l’or est resté dans une fourchette de négociation familière comprise entre 3 300 et 3 500 dollars l’once, un intervalle observé ces trois derniers mois. Le métal a eu du mal à s’imposer face aux spéculations selon lesquelles les récents sommets historiques d’avril auraient rendu l’or quelque peu survendu, surtout par rapport à d’autres métaux précieux.

    Le platine et l’argent ont progressé ces derniers mois, atteignant des plus hauts pluriannuels. Leurs gains ont été partiellement alimentés par des investisseurs cherchant des alternatives à l’or à des valorisations plus attractives, combinés à des attentes d’une offre plus serrée et d’une demande renforcée.

    Cependant, les deux métaux ont reculé cette semaine, les paris sur une baisse imminente des taux de la Fed s’estompant. Le platine au comptant s’est stabilisé à 1 421 dollars l’once, tandis que l’argent a légèrement augmenté à 37,84 dollars l’once.

    Le dollar plus fort pèse sur les métaux alors que les inquiétudes sur l’inflation persistent

    Le marché plus large des métaux a subi des pressions en raison du renforcement du dollar américain, qui a atteint un plus haut de trois semaines mardi après des données sur l’inflation plus fortes que prévu pour juin.

    Les contrats à terme sur le cuivre au London Metal Exchange sont restés stables à 9 639,70 dollars la tonne, tandis que les contrats à terme sur le cuivre américain ont reculé de 0,4 % à 5,50 dollars la livre.

    Bien que l’indice des prix à la consommation ait montré une augmentation modérée par rapport à mai, les données suggèrent que l’inflation reste tenace. Cela a ravivé les inquiétudes concernant les effets inflationnistes des tarifs imposés par le président Trump.

    La Réserve fédérale a indiqué qu’elle maintiendrait les taux d’intérêt inchangés tant que l’impact des tarifs ne sera pas plus clair, un message renforcé par le rapport sur l’inflation de mardi. Cette position a cependant suscité des critiques de la part de Trump et de ses alliés, qui continuent de demander le départ de Powell et des baisses de taux.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les prix du pétrole augmentent alors que l’OPEP+ maintient ses prévisions de demande et que les stocks de brut américains augmentent légèrement

    Les prix du pétrole augmentent alors que l’OPEP+ maintient ses prévisions de demande et que les stocks de brut américains augmentent légèrement

    Les prix du pétrole ont progressé lors de la séance asiatique de mercredi, rebondissant après des pertes précédentes, alors que l’OPEP+ a confirmé son optimisme sur la demande mondiale de pétrole malgré les récentes augmentations de production. Parallèlement, les traders ont réagi à une légère hausse des stocks de brut aux États-Unis.

    À 22h17 ET (02h17 GMT), les contrats à terme Brent de septembre ont gagné 0,4% à 69,01 dollars le baril, tandis que le WTI de septembre a progressé de 0,6% à 66,94 dollars le baril.

    Le marché a connu une forte volatilité en début de semaine après l’avertissement du président américain Donald Trump sur une “déclaration majeure” concernant la Russie, suscitant des craintes de perturbations potentielles de l’approvisionnement. Cependant, les prix ont chuté de près de 3% au cours des deux premiers jours après que Trump a renoncé à une action immédiate, accordant plutôt à la Russie un délai de 50 jours pour régler le conflit en Ukraine.

    L’OPEP prévoit une croissance économique plus forte au second semestre et maintient ses prévisions de demande

    Le dernier rapport mensuel de l’OPEP a réaffirmé ses prévisions de demande pour 2025 et 2026, exprimant l’espoir qu’un apaisement des tensions commerciales stimulera la croissance économique au cours de la seconde moitié de l’année.

    L’organisation a noté que les développements récents laissent entrevoir la possibilité d’accords commerciaux avec des partenaires clés des États-Unis, ce qui pourrait réduire l’incertitude économique mondiale.

    Malgré cela, les prix du pétrole restent sous pression en raison des inquiétudes suscitées par les hausses tarifaires prochaines annoncées par Trump, qui entreront en vigueur le 1er août, et qui pourraient accélérer l’inflation et ralentir la croissance économique, affaiblissant potentiellement la demande pétrolière.

    L’OPEP+ a souligné que les capacités de raffinage dans le monde, notamment aux États-Unis, devraient rester élevées pour répondre à la hausse saisonnière de la demande en carburants de transport, notamment l’essence, le kérosène et les carburants résiduels.

    Cela intervient alors que l’OPEP+ continue d’augmenter sa production, avec une dernière hausse de 548 000 barils par jour prévue pour août.

    Les stocks de brut américains augmentent légèrement

    Les données hebdomadaires de l’American Petroleum Institute pour la période se terminant le 11 juillet ont montré une légère hausse des stocks de brut américains d’environ 839 000 barils. Les stocks d’essence ont augmenté de 1,93 million de barils, et ceux de distillats de 828 000 barils.

    Cela fait suite à une forte hausse des stocks de brut la semaine précédente, de 7,1 millions de barils, principalement due à une réduction de la production des raffineries pendant la saison des maintenances.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Accord commercial États-Unis-Indonésie, prudence d’ASML et résultats clés à venir sur les marchés

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Accord commercial États-Unis-Indonésie, prudence d’ASML et résultats clés à venir sur les marchés

    Les contrats à terme américains ont reculé alors que les investisseurs digéraient des données d’inflation mitigées et se préparaient à d’autres rapports économiques. Plusieurs grandes entreprises américaines s’apprêtent à publier leurs résultats trimestriels, tandis que le fabricant européen d’équipements pour semi-conducteurs ASML (UE:ASML) a averti de possibles vents contraires liés à la hausse des tarifs américains, mettant en doute sa croissance pour 2026. Sur le front commercial, le président Donald Trump a annoncé un nouvel accord tarifaire avec l’Indonésie, à l’approche de la date limite importante du 1er août pour ses « tarifs réciproques ».

    Mouvements du marché et données sur l’inflation

    En début de journée mercredi, les contrats à terme sur le Dow, le S&P 500 et le Nasdaq affichaient des baisses modérées, reflétant la prudence des investisseurs. La séance précédente avait vu de légères baisses des principaux indices, en raison des inquiétudes sur la hausse des prix des biens affectés par les tarifs. Les dernières données sur l’inflation semblent avoir renforcé les attentes selon lesquelles la Réserve fédérale maintiendra ses taux d’intérêt stables lors de sa prochaine réunion, ce qui accroît les tensions entre Trump et le président de la Fed Jerome Powell, critiqué par Trump pour ne pas avoir baissé les taux plus rapidement.

    Les premiers résultats bancaires ont été mitigés : les actions de JPMorgan ont légèrement reculé, celles de Citigroup ont nettement augmenté, tandis que Wells Fargo a chuté après avoir abaissé ses prévisions.

    Détails de l’accord commercial États-Unis-Indonésie

    Les États-Unis imposeront un tarif de 19 % sur les importations en provenance d’Indonésie, contre 10 % actuellement, dans le cadre d’un nouvel accord bilatéral. L’accord cible également les pratiques de « transbordement », où des marchandises chinoises transitent par l’Indonésie pour contourner les tarifs américains. Ce pacte fait suite à des accords préliminaires avec le Royaume-Uni, la Chine et le Vietnam. Trump a insisté sur le fait que la date limite du 1er août ne serait pas reportée, malgré les perturbations précédentes sur les marchés.

    Le Yale Budget Lab estime que le taux moyen de droits de douane américains passera à plus de 20 % en raison de ces politiques, une hausse nette par rapport aux niveaux d’avant Trump.

    Résultats et perspectives d’ASML

    ASML a publié de solides commandes au deuxième trimestre, mais a averti que la croissance en 2026 est incertaine en raison de facteurs macroéconomiques et géopolitiques difficiles, notamment les tarifs. Le PDG Christophe Fourier a déclaré que la croissance était toujours prévue, mais ne pouvait pas être garantie pour le moment. Les actions d’ASML ont chuté de plus de 6 % en début de séance suite à cette annonce.

    Par ailleurs, le fabricant de produits de luxe Richemont a enregistré une hausse de 6 % de ses ventes trimestrielles, portée par la demande en bijoux malgré la faiblesse du segment montres.

    Résultats à venir

    Le calendrier des résultats de mercredi inclut les grandes banques comme Bank of America, Morgan Stanley et Goldman Sachs, qui donneront des indications sur les perspectives du secteur financier. Le géant pharmaceutique Johnson & Johnson publiera également ses résultats, ainsi que United Airlines, qui devrait fournir des indications sur la demande dans le secteur aérien. Delta Air Lines a récemment rétabli ses prévisions, évoquant une amélioration des fondamentaux du secteur.

    Indices d’inflation et rapport Beige Book de la Fed

    Les investisseurs se concentreront sur l’indice des prix à la production de juin, qui devrait montrer un léger ralentissement de l’inflation annuelle mais une légère hausse mensuelle. Le Beige Book de la Réserve fédérale, qui résume les conditions économiques régionales, sera également publié. Les analystes s’attendent à ce que le rapport souligne les risques persistants de stagflation, avec des défis de croissance et des pressions inflationnistes dues aux tensions commerciales.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.