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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les futures indiquent une ouverture légèrement haussière à Wall Street avant les données sur l’inflation

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les futures indiquent une ouverture légèrement haussière à Wall Street avant les données sur l’inflation

    Les contrats à terme sur les actions américaines suggèrent une ouverture modérément positive lundi, alors que les investisseurs digèrent la performance mitigée de la semaine dernière et des chiffres de l’emploi plus faibles que prévu. Bien que les indices aient récupéré par rapport aux plus bas intrajournaliers de vendredi, ils ont tout de même clôturé en léger recul.

    Le rapport du Labor Department de vendredi a indiqué que l’emploi non agricole aux États-Unis n’a augmenté que de 22 000 postes en août, bien en dessous des prévisions des économistes de 75 000. Les données de juin ont également été révisées à la baisse, passant d’une hausse de 14 000 à une baisse de 13 000, tandis que le taux de chômage est passé à 4,3 % contre 4,2 %.

    “À court terme, des données sur l’emploi plus faibles augmenteront les chances d’une réduction des taux par la Fed, mais pourraient créer une volatilité à court terme, car un marché du travail plus faible n’est pas un signe de force,” a déclaré Larry Tentarelli, Chief Technical Strategist chez Blue Chip Daily Trend Report.

    L’outil FedWatch du CME Group indique désormais une probabilité de 90,1 % d’une baisse de 25 points de base par la Réserve fédérale d’ici la fin du mois, soulignant les attentes selon lesquelles les décideurs pourraient réagir à un marché du travail plus faible.

    Les investisseurs se concentrent également sur les prochains rapports sur l’inflation, l’indice des prix à la production devant être publié mercredi et celui des prix à la consommation jeudi. Les économistes s’attendent à une croissance annuelle des prix à la production stable à 3,3 %, tandis que l’inflation à la consommation pourrait accélérer à 2,9 % contre 2,7 % en juillet, l’inflation de base restant stable à 3,1 %.

    Les performances sectorielles de la semaine dernière étaient contrastées. Les actions financières ont été parmi les moins performantes, l’indice NYSE Arca Broker/Dealer et le KBW Bank Index chutant respectivement de 1,9 % et 1,8 %. Les producteurs de pétrole ont reculé face à la faiblesse prolongée du pétrole brut, entraînant l’indice NYSE Arca Oil en baisse de 1,6 %. En revanche, les actions aurifères ont fortement progressé (+2,5 %) avec le prix de l’or, tandis que les secteurs de l’acier, de la biotechnologie et du logement ont affiché des gains, compensant ainsi la faiblesse d’autres secteurs.

    Les principaux indices ont connu une performance hebdomadaire mixte : le Nasdaq a progressé de 1,1 %, le S&P 500 de 0,3 %, et le Dow a reculé de 0,3 %.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent légèrement avant le vote de confiance en France

    DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent légèrement avant le vote de confiance en France

    Les marchés européens ont légèrement progressé lundi, alors que les investisseurs attendaient un vote de confiance crucial en France, le Premier ministre François Bayrou étant presque certain de subir une défaite.

    Malgré une enquête Sentix montrant une chute marquée du moral des investisseurs dans la zone euro en septembre, au plus bas depuis avril—passant de -3,7 en août à -9,2—les marchés sont restés relativement stables.

    En Allemagne, la production industrielle a rebondi en juillet, augmentant de 1,3 % sur un mois après une baisse de 0,1 % en juin, portée par une croissance de 9,5 % dans la fabrication de machines et d’équipements, selon Destatis. Cependant, l’excédent commercial du pays s’est réduit car les exportations ont diminué de 0,6 % en juillet, inversant une hausse de 1,1 % en juin, tandis que les importations ont légèrement baissé de 0,1 % après une hausse de 4,1 %.

    Côté bourse, le CAC 40 français a progressé de 0,5 %, le DAX allemand de 0,4 % et le FTSE 100 britannique de 0,2 %.

    Parmi les mouvements d’entreprises, la société suédoise de technologies médicales Elekta AB (BIT:1EKTA) a grimpé suite à la nomination d’un nouveau directeur financier. Le constructeur britannique Vistry (LSE:VTY) a progressé après avoir conclu un partenariat avec Homes England pour accélérer le développement de grands projets résidentiels. En revanche, l’assureur britannique Phoenix Group Holdings (LSE:PHNX) a chuté après la publication de ses résultats intérimaires pour le premier semestre 2025.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Cinq thèmes clés pour les marchés cette semaine

    Cinq thèmes clés pour les marchés cette semaine

    Cette semaine, les marchés mondiaux se concentrent sur un mélange de données économiques, de résultats d’entreprises et de développements politiques. Le rapport sur l’inflation aux États-Unis sera au centre de l’attention, alors que les investisseurs surveillent la manière dont la Réserve fédérale pourrait ajuster ses taux d’intérêt d’ici la fin du mois. Les observateurs du secteur attendent Oracle (NYSE:ORCL) pour des indications sur le secteur de l’intelligence artificielle, tandis que les événements politiques en Europe et les décisions de la BCE pourraient également influencer le sentiment des marchés.

    Focus sur l’indice des prix à la consommation aux États-Unis

    L’Indice des Prix à la Consommation (IPC) d’août, attendu jeudi, sera le principal point de mire de la semaine. Les économistes anticipent une hausse annuelle de 2,9%, légèrement supérieure à celle de juillet (2,7%). Ce chiffre mettra la Fed au défi de concilier stabilité des prix et soutien à l’emploi, son double mandat.

    Avec des signes de ralentissement du marché du travail, la Fed doit gérer à la fois la faiblesse de la croissance de l’emploi et la persistance de l’inflation. Les marchés évaluent la possibilité d’une baisse des taux, susceptible de stimuler l’investissement et l’embauche, mais comportant également le risque de pressions inflationnistes supplémentaires. Le président Jerome Powell et d’autres responsables de la Fed ont indiqué que les tendances de l’emploi pourraient primer sur les préoccupations inflationnistes.

    Résultats d’Oracle

    Les résultats d’Oracle seront scrutés pour mieux comprendre l’état du boom de l’IA. Les analystes se concentrent sur deux mesures : le backlog, représenté par les obligations de performance restantes, et le flux de trésorerie disponible. Wall Street prévoit un backlog d’environ 150 milliards de dollars et un flux de trésorerie disponible de 1,8 milliard de dollars, en rebond par rapport à un flux négatif de 2,9 milliards au trimestre précédent, grâce à une baisse des dépenses en capital.

    Au début de l’année, Oracle a relevé ses prévisions de revenus pour l’exercice 2026, citant la forte demande pour ses services cloud qui soutiennent les applications IA. La CEO Safra Catz a estimé des revenus annuels d’au moins 67 milliards de dollars, soit une croissance de 16,7 %, contre 15 % précédemment.

    Vote de confiance en France

    La France tiendra lundi un vote de confiance sur le plan fiscal du Premier ministre François Bayrou. Une défaite pourrait entraîner sa démission, augmentant l’incertitude politique. Le gouvernement vise à réduire le déficit de 4,6 % du PIB l’année prochaine à 2,8 % d’ici 2029, avec des réformes et des coupes budgétaires totalisant 43,8 milliards d’euros. Certaines mesures, comme la modification des jours fériés, ont déjà rencontré une forte opposition.

    Suite à l’annonce, les rendements des obligations françaises ont augmenté, le rendement à 30 ans atteignant des niveaux jamais vus depuis juin 2009. Les analystes d’ING notent que l’opposition semble plus concentrée sur la chute du gouvernement que sur la résolution des problèmes structurels du déficit, ce qui accroît l’incertitude des marchés.

    Décision de la BCE

    La BCE devrait maintenir ses taux d’intérêt inchangés cette semaine. Cependant, le débat interne entre partisans du statu quo et partisans de la baisse pourrait augmenter la volatilité du marché. Les signaux « hawkish » de Christine Lagarde en juillet, combinés à une croissance plus rapide et à une inflation légèrement élevée, rendent les investisseurs prudents. Le taux de dépôt devrait rester à 2 % pour une deuxième réunion consécutive.

    Données économiques chinoises

    Les investisseurs surveilleront également les données chinoises. Les exportations ont augmenté de 4,4 % en août en glissement annuel, en dessous des prévisions de 5 % et en baisse par rapport à 7,2 % en juillet. Les importations ont ralenti, reflétant une demande intérieure faible. Le surplus commercial a atteint 102,3 milliards de dollars, dépassant les prévisions de 99,4 milliards. Les données sur l’inflation en milieu de semaine, y compris les prix à la consommation et à la production, offriront des indications sur l’économie chinoise et ses répercussions sur les marchés mondiaux.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les futures américains en hausse avant les données sur l’inflation ; politique mondiale et pétrole sous les projecteurs

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les futures américains en hausse avant les données sur l’inflation ; politique mondiale et pétrole sous les projecteurs

    Les contrats à terme américains ont légèrement progressé lundi alors que les investisseurs anticipent d’éventuelles baisses de taux par la Réserve fédérale. Les données sur l’inflation prévues cette semaine seront déterminantes pour les attentes du marché, tandis que les incertitudes politiques en France et au Japon et la hausse des prix du pétrole influencent le sentiment des investisseurs.

    Hausse modérée des futures

    Vers 03h32 ET, les futures S&P 500 ont augmenté de 0,2%, les futures Nasdaq 100 de 0,4% et les futures Dow Jones de 0,1%. Vendredi dernier, les indices américains ont reculé après que le rapport sur l’emploi non agricole d’août a montré un ralentissement de la croissance des emplois et une hausse du taux de chômage, renforçant la probabilité d’une baisse des taux par la Fed. Les analystes anticipent une réduction d’au moins 25 points de base lors de la réunion du 16-17 septembre, avec la possibilité d’une réduction plus importante de 50 points de base.

    Malgré le recul de vendredi, le S&P 500 reste proche de ses niveaux record atteints jeudi. Les observateurs du marché notent que le mois de septembre est historiquement plus faible pour les actions. Les valorisations élevées, les incertitudes sur les politiques commerciales américaines, la hausse des rendements obligataires et les inquiétudes concernant le secteur technologique, notamment l’IA, freinent la confiance des investisseurs.

    Focus sur l’inflation

    Les investisseurs attendent maintenant l’indice des prix à la consommation (IPC) américain pour août, prévu à +2,9% sur un an, contre 2,7% en juillet. Ces données aideront la Fed à décider de ses prochaines étapes, en équilibrant son double mandat : soutenir l’emploi tout en maintenant la stabilité des prix. Une baisse des taux pourrait stimuler l’emploi et l’investissement, mais risquerait d’accroître la pression inflationniste.

    Incertain politique en France

    En Europe, l’évolution politique pourrait limiter les gains du marché. La France organise lundi un vote de confiance sur le plan fiscal du Premier ministre François Bayrou. Si les partis d’opposition rejettent le plan, Bayrou pourrait devoir démissionner. Le gouvernement vise à réduire le déficit de 4,6 % du PIB à 2,8 % d’ici 2029 grâce à des coupes budgétaires et à des réformes structurelles totalisant 43,8 milliards d’euros. Certaines propositions, comme la réduction des jours fériés, ont suscité des résistances, ce qui a fait monter les rendements obligataires. La semaine dernière, les rendements des obligations françaises à 30 ans ont atteint un plus haut depuis juin 2009.

    Changement de leadership au Japon

    Au Japon, l’instabilité politique s’est accentuée après la démission du Premier ministre Shigeru Ishiba de la tête du Parti libéral-démocrate, quelques semaines après la lourde défaite de la coalition au Sénat. Sa démission suit un accord commercial avec les États-Unis réduisant les droits de douane sur les exportations japonaises, mais ouvre la porte à une lutte pour le leadership dans la quatrième économie mondiale. Le yen a d’abord chuté face au dollar, mais a partiellement récupéré ; le Nikkei 225 a progressé et les rendements obligataires à 10 ans sont restés stables.

    Hausse du pétrole

    Les prix du pétrole ont bondi après l’annonce par l’OPEC+ d’une augmentation de la production plus faible que celle des précédents mois. Les futures Brent ont gagné 1,7 % à 66,59 $ le baril et le WTI américain a augmenté de 1,7 % à 62,92 $ le baril. L’OPEC+ prévoit une hausse de 137 000 barils par jour en octobre, bien inférieure aux augmentations mensuelles de 555 000 et 411 000 barils précédentes. Cette décision reflète les efforts de l’Arabie saoudite pour stabiliser les prix et gérer sa part de marché face à la baisse du pétrole.

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  • DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent légèrement alors que les attentes de baisse des taux de la Fed augmentent ; la politique française pèse

    DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent légèrement alors que les attentes de baisse des taux de la Fed augmentent ; la politique française pèse

    Les marchés boursiers européens ont affiché des gains modestes lundi, soutenus par les anticipations d’une baisse des taux par la Réserve fédérale américaine, bien que l’incertitude politique en France ait limité les hausses plus importantes. À 07h02 GMT, le DAX allemand a gagné 0,7 %, le CAC 40 français 0,4 % et le FTSE 100 britannique 0,3 %.

    L’optimisme des investisseurs stimulé par les perspectives Fed

    Les actifs à risque ont bénéficié du rapport décevant sur l’emploi américain de la semaine dernière, renforçant la probabilité d’une baisse des taux lors de la réunion de la Fed les 16 et 17 septembre. Les données sur l’emploi signalent un ralentissement de l’économie américaine, laissant les marchés confiants pour une réduction d’au moins 25 points de base. Les analystes débattent maintenant de la possibilité d’une baisse plus importante de 50 points de base, le rapport sur l’inflation américaine de jeudi étant crucial pour orienter la décision.

    L’incertitude politique en France limite les gains

    Les gains en Europe restent contenus par les développements en France, où le Premier ministre François Bayrou, le quatrième en trois ans, risque une défaite quasi certaine lors d’un vote de confiance. La deuxième économie de la zone euro fait face à un déficit budgétaire proche du double de la limite de 3 % du PIB fixée par l’UE. Le projet de budget de Bayrou a peu de chances d’obtenir une majorité, ce qui soulève des inquiétudes quant à la capacité de la France à maîtriser sa dette.

    La tourmente a déjà affecté la dette souveraine française, les rendements des obligations à 30 ans ayant atteint la semaine dernière des niveaux inédits depuis juin 2009. Moody’s avait précédemment abaissé la note de la France après l’effondrement du précédent gouvernement, et une répétition pourrait exercer une pression supplémentaire sur les titres, avec le risque de ventes forcées sur des obligations déjà fragilisées.

    Instabilité politique au Japon

    L’instabilité politique a également augmenté au Japon ce week-end après que le Premier ministre Shigeru Ishiba a annoncé sa démission de la tête du Parti libéral-démocrate, quelques semaines après la lourde défaite de la coalition aux élections du Sénat. Sa démission intervient après la conclusion d’un accord commercial avec les États-Unis, réduisant les droits de douane sur les exportations japonaises, mais ouvre la voie à une possible lutte pour la direction dans la quatrième économie mondiale, surtout après la perte de la majorité du LDP au Sénat.

    Données économiques contrastées en Allemagne

    Les données publiées lundi montrent un mélange : la production industrielle a augmenté de 1,3 % en juillet par rapport à juin, mais les exportations ont reculé de 0,6 %, en dessous de l’augmentation prévue de 0,1 %. Les importations ont également légèrement diminué de 0,1 % par rapport au mois précédent.

    Le pétrole grimpe après la décision de l’OPEC+

    Les prix du pétrole ont augmenté après l’annonce par l’OPEC+ d’une hausse de la production à un rythme inférieur à celui des mois précédents. À 03h02 ET, les contrats à terme sur le Brent ont gagné 1,7 % à 66,64 $ le baril, tandis que le WTI américain a progressé de 1,8 % à 63,00 $ le baril.

    Le groupe de producteurs a convenu d’une augmentation de 137 000 barils par jour en octobre, bien inférieure aux hausses mensuelles de 555 000 et 411 000 bpd observées plus tôt cette année. Cette décision fait suite à l’augmentation progressive de l’offre par l’OPEC+, dirigée par l’Arabie saoudite, pour regagner des parts de marché face à la baisse des prix du pétrole.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Le dollar recule alors que la Fed et la politique mondiale sont au centre de l’attention

    Le dollar recule alors que la Fed et la politique mondiale sont au centre de l’attention

    Le dollar américain a légèrement fléchi lundi, prolongeant les pertes de vendredi après des chiffres de l’emploi américain plus faibles que prévu, renforçant les attentes d’une éventuelle baisse des taux par la Réserve fédérale ce mois-ci. À 04h15 ET (08h15 GMT), l’indice du dollar, qui suit le billet vert par rapport à six devises majeures, a reculé de 0,1 % à 97,590, après une baisse de 0,5 % vendredi.

    Les marchés anticipent l’action de la Fed

    Le recul du dollar la semaine dernière a été provoqué par le rapport sur les nonfarm payrolls, qui a montré un ralentissement de la création d’emplois en août et une hausse du taux de chômage à 4,3 %, proche d’un sommet sur quatre ans. La Fed est largement attendue pour reprendre l’assouplissement monétaire, avec une baisse de 25 points de base prévue lors de la réunion de la semaine prochaine et une faible probabilité d’une réduction de 50 points de base.

    Les analystes d’ING ont noté que le rapport faible “a déclenché des spéculations sur la reprise du cycle d’assouplissement de la Fed avec une baisse de 50 points de base, similaire à celle de septembre dernier.” Selon l’outil CME FedWatch, la probabilité d’une telle baisse importante est désormais d’environ 10 %, contre zéro la semaine dernière. Les investisseurs suivent également l’indice des prix à la consommation américain pour août, qui pourrait offrir un soutien temporaire au dollar en cas de surprise à la hausse.

    Les devises européennes influencées par la politique

    L’euro a légèrement progressé à 1,1730 face au dollar, soutenu par des données montrant une hausse de 1,3 % de la production industrielle allemande en juillet par rapport au mois précédent. Cependant, les gains sont limités par l’incertitude politique en France, où le Premier ministre François Bayrou risque une probable défaite lors d’un vote de confiance.

    La France continue de faire face à un déficit budgétaire supérieur à 5 % du PIB, bien au-delà de la limite de 3 % de l’UE, et l’instabilité politique menace les efforts de réduction de la dette. ING a souligné que les partis d’opposition semblent plus intéressés à renverser le gouvernement qu’à résoudre les déséquilibres fiscaux, tandis que le rendement des obligations d’État à 30 ans a récemment atteint des niveaux inédits depuis juin 2009.

    GBP/USD a gagné 0,1 % à 1,3520 après une hausse de 0,5 % vendredi. Avec peu de données économiques au Royaume-Uni cette semaine et peu d’interventions de la Banque d’Angleterre, ING prévoit que les ranges resteront étroits avant la réunion de politique monétaire de la semaine prochaine et les mises à jour sur le resserrement quantitatif.

    Le yen se déprécie face à l’incertitude politique

    USD/JPY a augmenté de 0,3 % à 147,80 suite à la démission du Premier ministre japonais Shigeru Ishiba, accroissant l’incertitude à Tokyo. Son départ, après des revers électoraux et des dissensions au sein du parti, soulève des questions sur la politique fiscale et monétaire du Japon. Les analystes ING ont noté que les marchés prennent ces risques fiscaux très au sérieux, poussant USD/JPY au-dessus de 148, mais la paire pourrait se stabiliser entre 148,50 et 149,00. Le PIB du Japon au T2 a été révisé à la hausse, soutenu par la consommation et les stocks.

    Par ailleurs, USD/CNY est resté stable à 7,1325, tandis qu’AUD/USD a progressé de 0,3 % à 0,6580.

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  • L’or reste proche des sommets historiques alors que les attentes de baisse des taux de la Fed augmentent

    L’or reste proche des sommets historiques alors que les attentes de baisse des taux de la Fed augmentent

    Les prix de l’or sont restés proches de leurs niveaux record lundi, après le rallye marqué de la semaine dernière, les données américaines sur l’emploi plus faibles que prévu renforçant les anticipations d’une réduction imminente des taux par la Réserve fédérale. L’or au comptant s’est maintenu à 3 585,68 $ l’once, légèrement en dessous du record de vendredi à 3 600,03 $, tandis que les contrats à terme de décembre ont reculé de 0,7 % à 3 626,52 $ l’once à 01h39 ET (05h39 GMT).

    Le métal précieux a gagné plus de 4 % la semaine dernière et a progressé lors de neuf des dix dernières séances. Sur l’année, l’or a augmenté de près de 37 %, soutenu par la demande refuge face à l’incertitude commerciale mondiale et par les achats soutenus des banques centrales, notamment en Chine.

    Des données de l’emploi américain faibles renforcent les paris sur une baisse des taux

    Le dernier rapport sur l’emploi a montré un ralentissement de la croissance des emplois et une hausse du taux de chômage à 4,3 %. Les investisseurs considèrent désormais probable une baisse de 25 points de base lors de la réunion de septembre de la Fed, avec une faible chance d’une réduction de 50 points de base. Des taux plus bas réduisent le coût d’opportunité de détenir de l’or et affaiblissent souvent le dollar, rendant le métal plus attractif.

    Les futures sur l’indice du dollar américain sont restés pratiquement inchangés lundi, restant faibles après le recul de la semaine dernière. Les acteurs du marché attendent également le rapport sur l’inflation américaine de jeudi, susceptible d’influencer les attentes concernant la politique de la Fed et l’évolution à court terme de l’or.

    Performances de l’argent, du platine et du cuivre

    Les autres métaux précieux ont montré des mouvements contrastés. Le platine est resté stable à 1 385,60 $ l’once, tandis que l’argent a reculé de 0,6 % à 41,30 $ l’once, sous le plus haut de la semaine dernière, niveau le plus élevé depuis août 2011. Les marchés du cuivre sont restés relativement stables, avec les futures sur le London Metal Exchange à 9 901,65 $ la tonne et les contrats américains en hausse de 0,3 % à 4,56 $ la livre.

    La Chine, premier importateur mondial de cuivre, a vu la croissance de ses exportations ralentir en août, alors que l’élan lié à la trêve commerciale avec les États-Unis s’est estompé. Les importations ont également diminué par rapport à juillet, reflétant une demande intérieure toujours faible.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les prix du pétrole augmentent alors que l’OPEP+ ralentit la hausse de production pour octobre

    Les prix du pétrole augmentent alors que l’OPEP+ ralentit la hausse de production pour octobre

    Les marchés pétroliers ont progressé lors des échanges asiatiques lundi, soutenus par les attentes d’une offre plus restreinte après la décision de l’OPEP+ d’augmenter la production à un rythme plus modéré en octobre. Les tensions géopolitiques, notamment le conflit Russie-Ukraine, ont également soutenu le marché, tandis que les efforts des États-Unis pour négocier un cessez-le-feu restent limités.

    Le Brent pour livraison en novembre a gagné 0,6 % à 65,90 $ le baril, et les contrats à terme WTI ont augmenté de 0,6 % à 61,83 $ le baril à 20h56 ET (00h56 GMT).

    L’OPEP+ réduit la hausse de la production

    L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés ont annoncé une augmentation cumulative de la production de 137 000 barils par jour pour octobre, bien en dessous des hausses mensuelles précédentes de 555 000 b/j et 411 000 b/j. L’Arabie Saoudite, à la tête de l’alliance, avait auparavant relevé la production pour récupérer des parts de marché face à la baisse des prix du pétrole. L’OPEP+ a souligné sa prudence, citant les risques de baisse de la demande mondiale dans un contexte de ralentissement de la croissance aux États-Unis et d’activité faible en Chine.

    Contexte et mouvements récents du marché

    La semaine dernière, les contrats à terme sur le Brent et le WTI ont perdu entre 3 et 4 % en raison des inquiétudes sur la demande mondiale. La chute s’est accélérée après des données décevantes sur l’emploi non agricole aux États-Unis, montrant un ralentissement de l’économie. Si les attentes de taux d’intérêt plus bas ont affaibli le dollar, des préoccupations subsistent concernant une demande de carburant plus faible. Les rapports sur les stocks américains ont montré des augmentations inattendues, et la demande intérieure en carburant a diminué après la fin de la saison estivale, laissant craindre un surplus d’offre pour l’hiver dans l’hémisphère nord.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Le dollar recule alors que les marchés obligataires se stabilisent avant les chiffres de l’emploi aux États-Unis

    Le dollar recule alors que les marchés obligataires se stabilisent avant les chiffres de l’emploi aux États-Unis

    Le dollar américain a baissé vendredi face aux principales devises, réduisant ses gains hebdomadaires alors que les marchés obligataires se stabilisaient et que les investisseurs attendaient la publication de données sur l’emploi susceptibles de renforcer les attentes d’une baisse des taux par la Réserve fédérale.

    Le rapport de jeudi montrant des demandes d’allocations chômage supérieures aux prévisions a préparé le terrain pour les chiffres cruciaux des nonfarm payrolls. Les obligations à long terme ont progressé aux États-Unis, en Europe et au Japon après une hausse des rendements liée aux préoccupations fiscales, tandis que le S&P 500 atteignait un nouveau record historique.

    “Il me semble que la réaction à l’ADP hier a été un peu trop faible,” a déclaré Francesco Pesole, stratégiste FX chez ING. “Dans l’ensemble, cela indique probablement un chiffre faible pour les payrolls aujourd’hui. J’ai été un peu surpris de voir le dollar se maintenir hier.”

    Pesole a ajouté que la baisse initiale du dollar lors des échanges européens pourrait signaler que les investisseurs vendent des dollars avant la publication des chiffres de l’emploi américain plus tard dans la journée.

    L’indice du dollar, qui suit le billet vert par rapport à un panier de principales devises, a reculé de 0,2 % à 98,018, réduisant son gain hebdomadaire à seulement 0,2 %. Le dollar a perdu 0,2 % face au yen, à 148,14, tandis que l’euro a progressé de 0,2 % à 1,1682 $.

    Au Royaume-Uni, les ventes au détail de juillet ont dépassé les attentes mais ont eu peu d’effet sur la livre, qui a gagné 0,2 % à 1,34695 $, tandis qu’elle reculait de 0,05 % face à l’euro à 86,74 pence.

    La prudence des investisseurs reste élevée en raison des interventions du président Trump dans la politique de la Fed et de son régime tarifaire imprévisible, a déclaré Bart Wakabayashi, directeur de la succursale de Tokyo de State Street.

    “Le dollar reste très, très sous-pondéré,” a déclaré Wakabayashi. “Je pense qu’il y a de la place pour un retour des achats de dollars à un moment donné. Peut-être que les investisseurs attendent simplement que la baisse des taux se produise et qu’ils reviennent massivement.”

    Les responsables de la Fed continuent de souligner que les inquiétudes liées au marché du travail soutiennent les appels à des baisses de taux, renforçant les attentes d’un assouplissement imminent. La Fed doit se réunir les 16 et 17 septembre.

    Les économistes interrogés par Reuters prévoient une hausse de 75 000 emplois non agricoles en août, légèrement au-dessus des 73 000 de juillet. Les données de jeudi avaient déjà montré une croissance des emplois privés inférieure aux prévisions et des demandes de chômage plus élevées que prévu.

    “Le risque reste orienté vers des chiffres des payrolls inférieurs aux attentes des économistes américains, ce qui pèsera sur le dollar ce soir,” a déclaré Joseph Capurso, responsable de l’économie internationale à la Commonwealth Bank of Australia.

    Selon CME FedWatch, les traders voient désormais près de 100 % de chances d’une baisse des taux en septembre, contre 87 % la semaine dernière.

    Michael Brown, stratégiste senior chez Pepperstone, a souligné que le rapport sur l’emploi n’influencerait probablement pas la décision de la Fed.

    “La Fed appliquera une baisse de 25 points de base en septembre. Un rapport solide ne les découragera pas, compte tenu de la tendance générale d’un affaiblissement des données sur l’emploi. Un rapport faible ne les convaincra pas de procéder à une réduction plus importante, compte tenu des risques persistants d’inflation à la hausse,” a-t-il déclaré.

    Par ailleurs, Stephen Miran, nommé par Trump pour un siège à la Fed, a assuré au Congrès qu’il ne serait “absolument pas” la marionnette du président dans les décisions sur les taux d’intérêt.

    Trump a signé un décret réduisant les droits de douane sur les importations automobiles japonaises et d’autres produits annoncés en juillet. Le Japon a également confirmé son engagement à acheter annuellement pour 7 milliards de dollars de produits énergétiques américains.

    Ailleurs, le dollar australien a progressé de 0,4 % à 0,6544 $, le dollar néo-zélandais de 0,6 % à 0,58785 $, le bitcoin a gagné 2,16 % à 112 796,78 $ et l’ether 2,1 % à 4 398,61 $.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les futures américains progressent avant les données sur l’emploi ; OpenAI et les négociations commerciales dans le viseur

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les futures américains progressent avant les données sur l’emploi ; OpenAI et les négociations commerciales dans le viseur

    Les contrats à terme sur les principaux indices boursiers américains ont légèrement augmenté vendredi, les investisseurs attendant le rapport sur l’emploi non agricole d’août, un indicateur clé pour les futures décisions de la Réserve fédérale. Les attentes restent largement en faveur d’une baisse des taux ce mois-ci, tandis que les développements autour d’OpenAI et les négociations commerciales avec le Mexique et le Canada attirent l’attention des marchés.

    Les marchés en attente des chiffres de l’emploi

    En début de séance, les futures du Dow étaient pratiquement stables, les futures du S&P 500 ont gagné 0,2% et ceux du Nasdaq 100 environ 0,4%. Les indices américains avaient enregistré des gains lors de la séance précédente, le S&P 500 atteignant un nouveau record de clôture. Les données récentes sur le marché du travail, montrant un ralentissement des embauches dans le secteur privé et une légère hausse des demandes d’allocations chômage, ont renforcé les paris des investisseurs sur une baisse des taux lors de la réunion de la Fed des 16-17 septembre.

    Les économistes prévoient environ 75 000 nouveaux emplois aux États-Unis en août, légèrement au-dessus des 73 000 de juillet. Une lecture plus faible que prévu consoliderait les attentes pour une baisse de 25 points de base, le CME FedWatch estimant près de 100 % de probabilité. Les responsables de la Fed continuent de concilier leur double mandat de stabilité des prix et d’emploi maximal, des commentaires récents indiquant que le soutien au marché du travail pourrait être la priorité actuelle.

    OpenAI va produire ses propres puces IA avec Broadcom

    OpenAI prévoit de fabriquer ses propres puces d’intelligence artificielle à partir de 2026 en partenariat avec Broadcom, selon le Financial Times. L’objectif est de répondre à la demande croissante en puissance de calcul pour les programmes d’IA tout en réduisant la dépendance à Nvidia. Le PDG de Broadcom, Hock Tan, a indiqué qu’un nouveau client avait passé des commandes pour 10 milliards de dollars, identifié par le FT comme étant OpenAI. Les puces seront destinées à un usage interne, et non à la vente. Les actions Broadcom ont grimpé de plus de 6 % après la clôture, suite à des résultats trimestriels solides et à des prévisions positives pour le trimestre en cours.

    Renégociation de l’ALENA (USMCA) à venir

    Le Wall Street Journal a rapporté que l’administration Trump prépare la renégociation de l’accord commercial États-Unis-Mexique-Canada. Le bureau du représentant américain au commerce tiendra des audiences publiques, visant à achever les premières étapes de la renégociation d’ici le 4 octobre. Bien que les consultations avec les entreprises et les syndicats commencent cette semaine, le processus complet devrait durer plusieurs mois. Les tarifs précédemment imposés et partiellement annulés compliquent encore les négociations.

    L’or reste proche des sommets

    Les prix de l’or se sont maintenus près des récents sommets en début de séance européenne, les investisseurs attendant le rapport sur l’emploi américain. L’or au comptant a progressé de 0,1 % à 3 547,80 $ l’once, tandis que les contrats à terme de décembre se situaient autour de 3 607,82 $ l’once. Les métaux en général ont également enregistré des gains hebdomadaires, soutenus par les anticipations d’une baisse des taux par la Fed. Des taux plus bas réduisent le coût d’opportunité d’investir dans des actifs sans rendement comme les métaux précieux par rapport aux obligations d’État.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.