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  • I prezzi del petrolio salgono leggermente dopo un minimo di un mese mentre si avvicinano le sanzioni USA contro gli acquirenti di petrolio russo

    I prezzi del petrolio salgono leggermente dopo un minimo di un mese mentre si avvicinano le sanzioni USA contro gli acquirenti di petrolio russo

    Les prix du pétrole reprennent légèrement après un creux d’un mois alors que les sanctions américaines contre les acheteurs de pétrole russe se profilent

    Les marchés pétroliers ont enregistré une légère hausse lors des échanges asiatiques mercredi, reprenant un peu après avoir atteint un creux de cinq semaines lors de la séance précédente. La perspective de sanctions américaines renforcées contre les pays achetant du pétrole russe a soutenu les cours.

    Pourtant, ce rebond reste fragile face aux préoccupations persistantes concernant l’augmentation de la production de l’OPEP+ et les perspectives de demande mondiale faible.

    À 21h50 ET (01h50 GMT), les contrats à terme sur le Brent d’octobre ont progressé de 0,5 % à 68,00 dollars le baril, tandis que le West Texas Intermediate (WTI) a gagné 0,5 % à 64,53 dollars le baril.

    Les données de l’American Petroleum Institute (API) ont également soutenu ce rebond, révélant une baisse des stocks américains de pétrole bien plus importante que prévue la semaine dernière : une diminution de 4,2 millions de barils contre une attente de 1,8 million.

    Trump menace l’Inde de nouvelles taxes sur les achats de pétrole russe

    Mardi, le président américain Donald Trump a intensifié la pression sur l’Inde en menaçant d’imposer des droits de douane supplémentaires à cause des achats continus de pétrole russe par le pays. Cela fait suite à l’imposition la semaine dernière de tarifs réciproques de 25 % à l’Inde.

    Trump a critiqué la poursuite des importations de pétrole russe par l’Inde, affirmant qu’elles financent les opérations militaires de la Russie en Ukraine. Cependant, l’Inde a rejeté ces accusations et devrait continuer à importer du pétrole russe dans un avenir proche, dépendant des importations pour environ 80 % de sa consommation.

    Trump a également menacé la Chine, un autre important acheteur de pétrole russe, d’augmenter les tarifs.

    Si ces gros importateurs réduisent leurs achats de pétrole russe, l’offre mondiale pourrait se resserrer, offrant un certain soutien aux prix du pétrole.

    Par ailleurs, des rapports indiquent que Moscou envisage des mesures pour désamorcer les tensions, notamment une possible pause dans les frappes aériennes, dans l’espoir d’éviter des sanctions américaines plus sévères. L’envoyé spécial américain Steve Witkoff doit également se rendre à Moscou cette semaine pour discuter de la crise.

    Le pétrole lutte entre surproduction et incertitudes sur la demande

    Malgré les gains de mercredi, les prix du pétrole ont subi de lourdes pertes récemment.

    Ce recul fait suite à l’annonce de l’OPEP+ d’augmenter la production de 547 000 barils par jour à partir de septembre.

    Cette hausse alimente les craintes d’un excès d’offre sur le marché pétrolier mondial au second semestre 2025.

    En outre, une série de données économiques décevantes en provenance des États-Unis et de la Chine ont accru les inquiétudes quant à une croissance plus faible et à une demande en baisse de la part de deux des plus grands consommateurs de pétrole au monde.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Le Dollar Se Maintient Avant la Nomination à la Fed ; La Livre Attend la Décision de la Banque d’Angleterre

    Le Dollar Se Maintient Avant la Nomination à la Fed ; La Livre Attend la Décision de la Banque d’Angleterre

    Le dollar américain est resté stable mercredi, alors que les marchés attendaient que le président Donald Trump annonce son choix pour pourvoir le siège vacant au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale.

    À 03h50 ET (07h50 GMT), l’indice du dollar — qui mesure la devise américaine face à un panier de six grandes devises — reculait de 0,1 % à 98,527. Cette baisse fait suite à sa plus forte chute en une journée depuis près de quatre mois, enregistrée vendredi dernier après un rapport décevant sur l’emploi.

    Trump au centre de l’attention pour la Fed

    Les dernières données, publiées mardi, ont révélé une stagnation inattendue de l’activité dans les services en juillet, alors que les coûts d’entrée ont atteint leur plus haut niveau en près de trois ans — renforçant les inquiétudes concernant les effets des tarifs douaniers de Trump sur l’économie.

    Les marchés anticipent désormais à 90 % une baisse des taux en septembre, avec environ 56 points de base de réduction attendus d’ici fin 2025.

    En l’absence de données économiques majeures mercredi, l’attention se tourne vers Washington, où Trump a annoncé mardi qu’il désignerait un candidat à la Fed d’ici la fin de la semaine, pour remplacer Adriana Kugler.

    “Les attaques publiques de Trump contre le Bureau des statistiques du travail concernant les révisions des données d’emploi n’ont pas vraiment affecté les marchés, mais il sera intéressant de voir si le candidat choisi pour la Fed reprend ce discours,” ont écrit les analystes d’ING.
    “Si c’est le cas, cela pourrait faire craindre une déconnexion entre la politique de la Fed et les données officielles – un scénario que nous considérons clairement négatif pour le dollar.”

    La livre en attente de la Banque d’Angleterre

    La paire EUR/USD a légèrement progressé à 1,1576, malgré un recul inattendu des commandes industrielles allemandes en juin, en baisse pour le deuxième mois consécutif, en raison d’une demande extérieure plus faible.

    Les commandes ont chuté de 1 %, alors que les analystes attendaient une hausse de 1 %.

    Les ventes au détail dans la zone euro, dont les chiffres doivent être publiés plus tard, devraient rebondir de 0,4 % en juin après une baisse de 0,7 % en mai.

    “EUR/USD reste presque entièrement dicté par le mouvement du dollar, et nous continuons de voir un potentiel haussier principalement dû à la réévaluation dovish de la Fed plutôt qu’à une dynamique propre à la zone euro,” selon ING.

    La livre sterling a légèrement reculé à 1,3295, les investisseurs étant prudents avant la réunion de la Banque d’Angleterre prévue jeudi.

    La BoE devrait réduire son taux directeur de 4,25 % à 4 %, et pourrait opérer une nouvelle baisse d’ici la fin de l’année, malgré une inflation proche du double de son objectif de 2 % en juin.

    La roupie indienne se stabilise

    Ailleurs, l’USD/JPY est monté à 147,66 après la publication de données japonaises montrant des salaires en hausse plus lente qu’attendu.

    L’AUD/USD a progressé de 0,4 % à 0,6489, se redressant depuis les plus bas d’un mois, tandis que l’USD/CNY a gagné 0,1 % à 7,1891, les marchés surveillant d’éventuelles sanctions américaines supplémentaires sur le pétrole russe acheté par la Chine.

    L’USD/INR a reculé de 0,1 % à 87,697, après avoir atteint un record supérieur à 88 en début de semaine.

    La roupie a trouvé un certain soutien après que la Banque centrale indienne a maintenu ses taux inchangés à 5,50 %, contre les attentes de nouvelles baisses face à la pression croissante des tarifs commerciaux américains.

    Depuis le début de 2025, la RBI a abaissé ses taux d’un point de pourcentage cumulé.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent, les résultats trimestriels se poursuivent ; ventes au détail de la zone euro attendues

    DAX, CAC, FTSE100, Les actions européennes progressent, les résultats trimestriels se poursuivent ; ventes au détail de la zone euro attendues

    Les marchés européens ont terminé en hausse mercredi, portés par une nouvelle série de résultats d’entreprises qui, jusqu’à présent, reflètent une dynamique globalement positive pour le deuxième trimestre.

    À 07h05 GMT, le DAX allemand gagnait 0,5 %, le CAC 40 français progressait de 0,1 % et le FTSE 100 britannique montait de 0,3 %. La bonne performance des entreprises a soutenu les principaux indices, bien que certains signes indiquent que les tarifs douaniers commencent à peser sur certaines sociétés, ce qui pourrait compliquer le troisième trimestre.

    Résultats d’entreprises en cascade

    Les publications de résultats se sont enchaînées à un rythme soutenu, et les investisseurs ont analysé une multitude de chiffres.

    Novo Nordisk (NYSE:NVO) a abaissé ses prévisions de ventes et de bénéfices pour l’année complète, citant une croissance moins forte que prévue de ses traitements amaigrissants Wegovy et Ozempic sur des marchés clés. Malgré cela, la société pharmaceutique danoise a enregistré une croissance à deux chiffres au premier semestre.

    Bayer (TG:BAYN) a annoncé la suppression d’environ 12 000 postes à temps plein dans le cadre de sa restructuration destinée à simplifier la hiérarchie et accélérer la prise de décision.

    Siemens Energy (TG:SIE) s’attend à atteindre le haut de sa fourchette de croissance pour 2025, grâce à une demande soutenue pour ses éoliennes et équipements énergétiques aux États-Unis, ce qui compense l’impact négatif des droits de douane.

    Fresenius (TG:FME) a relevé ses prévisions de chiffre d’affaires annuel, visant désormais jusqu’à 7 % de croissance organique.

    Commerzbank (TG:CBK) a vu son bénéfice net reculer de 14 % au deuxième trimestre par rapport à l’an dernier, en raison de coûts de restructuration. Néanmoins, la banque a relevé ses perspectives pour l’ensemble de l’année.

    Glencore (LSE:GLEN) a publié une baisse de ses résultats semestriels ajustés, affectés par la chute des prix du charbon et une production de cuivre plus faible. Le groupe a également enregistré une perte nette plus importante que prévu, en raison d’une importante dépréciation de ses actifs houillers en Colombie.

    Aux États-Unis, les investisseurs attendent les résultats de Walt Disney (NYSE:DIS), Uber Technologies (NYSE:UBER) et McDonald’s (NYSE:MCD).

    Indicateurs économiques : commandes industrielles et ventes au détail

    Les commandes industrielles allemandes ont reculé de 1 % en juin, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 1 %, alimentant les inquiétudes sur la santé du secteur manufacturier.

    Les ventes au détail dans la zone euro pour juin seront publiées plus tard dans la journée. Les analystes anticipent un rebond mensuel de 0,4 %, après une baisse de 0,7 % en mai.

    Aux États-Unis, aucun indicateur majeur n’est attendu mercredi, mais l’attention se tournera vers une adjudication de bons du Trésor à 10 ans pour un montant de 42 milliards de dollars, après une adjudication peu concluante à 3 ans la veille.

    Le pétrole repart à la hausse

    Les prix du pétrole ont rebondi mercredi après avoir touché un creux de cinq semaines lors de la séance précédente. Le marché a été soutenu par des spéculations sur un possible durcissement des sanctions américaines visant les acheteurs de pétrole russe.

    À 03h05 ET, les contrats à terme sur le Brent gagnaient 0,9 % à 68,28 dollars le baril, tandis que le WTI avançait de 0,8 % à 65,69 dollars.

    Mardi, les deux références avaient chuté de plus d’un dollar pour clôturer à leur plus bas niveau depuis cinq semaines, marquant une quatrième séance de baisse d’affilée, sur fond d’inquiétudes liées à une offre excédentaire à venir de la part de l’OPEP+.

    Par ailleurs, l’ancien président Donald Trump a intensifié ses menaces de nouveaux droits de douane contre l’Inde, reprochant à New Delhi de continuer à acheter du pétrole russe. Après avoir imposé des droits de 25 % la semaine dernière, il a indiqué qu’une nouvelle série de tarifs pourrait arriver dès cette semaine.

    Enfin, les chiffres publiés par l’American Petroleum Institute (API) ont montré une baisse bien plus importante que prévu des stocks de pétrole brut aux États-Unis — 4,2 millions de barils contre 1,8 million attendus —, ce qui a également soutenu les prix.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les marchés rebondissent alors que les investisseurs évaluent l’impact des tarifs ; AMD baisse, Novo Nordisk prévoit des économies

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les marchés rebondissent alors que les investisseurs évaluent l’impact des tarifs ; AMD baisse, Novo Nordisk prévoit des économies

    Les contrats à terme sur actions américaines étaient en hausse mercredi matin, après une séance précédente en baisse, les marchés surveillant les effets des tarifs douaniers sur les résultats des entreprises et la santé économique globale.

    À 03h43 ET, les contrats futures du Dow Jones gagnaient 227 points (+0,5%), ceux du S&P 500 30 points (+0,5%) et ceux du Nasdaq 100 74 points (+0,3%).

    Le rebond intervient après des avertissements émis mardi par de grandes entreprises sur les effets des tarifs. Yum! Brands (NYSE:YUM), propriétaire de KFC, a signalé une baisse de la consommation, tandis que Caterpillar (NYSE:CAT) a estimé que les droits pourraient lui coûter jusqu’à 1,5 milliard de dollars en 2025.

    Malgré cela, la saison des résultats du deuxième trimestre a été largement positive, avec plus de 80% des sociétés dépassant les prévisions, apaisant ainsi les inquiétudes liées aux données de l’emploi et aux hausses de coûts dans les services.

    AMD déçoit avec sa division centres de données

    Les actions d’Advanced Micro Devices (NASDAQ:AMD) ont reculé en après-Bourse après des résultats mitigés. Si les prévisions pour le troisième trimestre dépassent les attentes (environ 8,7 milliards de dollars), les performances du segment centres de données ont déçu.

    Cette division, qui inclut les puces IA d’AMD, a vu son chiffre d’affaires grimper de 14% à 3,2 milliards de dollars, en ligne avec les prévisions mais loin derrière la croissance de Nvidia. La PDG Lisa Su a indiqué que les ventes de puces IA ont diminué, à cause des restrictions à l’exportation vers la Chine et du passage à la gamme MI350.

    AMD a précisé que ses prévisions excluent les ventes de la puce MI308 en Chine, en attente d’approbation par les autorités américaines.

    Résultats attendus de McDonald’s et Disney

    McDonald’s (NYSE:MCD) et Disney (NYSE:DIS) publieront leurs résultats trimestriels aujourd’hui. Les investisseurs suivront de près les tendances de consommation et les performances des médias.

    Chez McDonald’s, les analystes de Citi prévoient de bonnes ventes comparables et une innovation continue dans les produits pour stimuler la fréquentation.

    Pour Disney, l’attention se portera sur sa division streaming, les studios et les parcs à thème. Des précisions sont également attendues sur la future plateforme ESPN. En parallèle, la NFL a pris une participation de 10% dans ESPN, qui reprendra le contrôle de NFL Network et d’autres actifs.

    OpenAI viserait une valorisation de 500 milliards $ dans une vente secondaire

    Selon Bloomberg, OpenAI discute d’une vente secondaire d’actions qui pourrait valoriser l’entreprise à 500 milliards de dollars. Cette opération offrirait une sortie aux employés et investisseurs précoces.

    Cette annonce intervient alors que ChatGPT a atteint 700 millions d’utilisateurs actifs hebdomadaires, contre 500 millions en mars, et qu’OpenAI a récemment levé 8,3 milliards de dollars dans un tour dirigé par SoftBank.

    Novo Nordisk va réduire ses coûts face à la concurrence

    Novo Nordisk (NYSE:NVO) a annoncé un plan de réduction des coûts, face à la montée de la concurrence dans les traitements contre l’obésité et le diabète. Le fabricant danois du Wegovy subit la pression d’Eli Lilly et de versions composées de ses médicaments.

    Bien que le groupe maintienne ses prévisions annuelles, cela fait suite à un avertissement sur bénéfices, une révision de ses perspectives 2025, et une réorganisation de sa direction.

    Au deuxième trimestre, les ventes de Wegovy ont bondi de 67% à 19,53 milliards de couronnes danoises, tandis que le chiffre d’affaires global a augmenté de 18% à 76,86 milliards, en dessous des attentes. L’action, cotée à Copenhague, est stable ce matin mais a perdu plus de 52% depuis le début de l’année.

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  • DAX, CAC, FTSE100, Les Marchés Européens Progressent grâce aux Résultats d’Entreprises et aux Espoirs de Baisse des Taux US

    DAX, CAC, FTSE100, Les Marchés Européens Progressent grâce aux Résultats d’Entreprises et aux Espoirs de Baisse des Taux US

    Les marchés européens ont démarré la semaine sur une note positive, portés par une série de résultats d’entreprises solides et par l’espoir croissant d’un assouplissement monétaire imminent de la Réserve fédérale américaine.

    Les données économiques ont également soutenu le moral du marché, l’activité dans la zone euro ayant légèrement progressé. L’indice PMI composite HCOB, compilé par S&P Global, est passé de 50,6 en juin à 50,9 en juillet, bien qu’il reste juste en dessous de l’estimation flash de 51,0. Par ailleurs, Eurostat (EU:ETL) a annoncé une hausse de 0,8% des prix à la production en juin par rapport à mai.

    Les principaux indices européens ont terminé en hausse :

    • DAX +0,8%
    • CAC 40 +0,3%
    • FTSE 100 +0,4%

    Les principales performances boursières :

    • Gerresheimer (TG:GXI) a bondi de près de 3% après avoir annoncé la scission de sa division verre moulé, en vue d’une vente.
    • Rational AG (TG:RAA) a gagné 2,2%, après avoir confirmé ses prévisions de croissance annuelle suite à des résultats solides.
    • Continental AG (TG:CON) a reculé de 1,3% après des ventes décevantes au deuxième trimestre.
    • Hugo Boss (TG:BOSS) a grimpé de 7%, portée par un bénéfice opérationnel légèrement supérieur aux attentes.
    • Infineon Technologies (TG:IFX) a progressé de 4,7% après avoir relevé ses prévisions de rentabilité grâce à une bonne performance trimestrielle.
    • Fresenius Medical Care (NYSE:FMS) a chuté de 3,4% après avoir publié des résultats inférieurs aux prévisions.
    • Aurubis AG (TG:NDA) a gagné 3,3%, ses bénéfices sur neuf mois dépassant les attentes.
    • Adecco Group (BIT:1ADEN) a perdu 2% après une croissance modeste de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre.
    • Travis Perkins (LSE:TPK) a pris 6,5% après une hausse de ses bénéfices semestriels.
    • Smith & Nephew (LSE:SN.) a bondi de 15% grâce à un rachat d’actions de 500 millions de dollars et des résultats H1 supérieurs aux attentes.
    • Domino’s Pizza Group (LSE:DOM) a plongé de 14% après avoir revu à la baisse ses prévisions de bénéfices.
    • BP Plc (LSE:BP.) a progressé de 2,2% après être repassée dans le vert au deuxième trimestre.
    • Diageo (LSE:DGE) a gagné 6,5% malgré une baisse de près de 30% de son bénéfice annuel.
    • Fresnillo (LSE:FRES) a grimpé de 7,6% après un bénéfice net semestriel multiplié par quatre.

    Avec les investisseurs scrutant les prochaines décisions de politique monétaire américaine, les marchés européens pourraient maintenir leur élan à court terme.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme américains indiquent une poursuite de la dynamique après le fort rallye de Wall Street

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme américains indiquent une poursuite de la dynamique après le fort rallye de Wall Street

    Les contrats à terme sur les principaux indices boursiers américains suggèrent une ouverture légèrement en hausse mardi, indiquant que les investisseurs sont prêts à prolonger les gains solides enregistrés lors de la séance de lundi.

    Les actions technologiques semblent prêtes à continuer leur progression après que Palantir (NASDAQ:PLTR) a publié des résultats solides au deuxième trimestre. Le titre de la société de logiciels a bondi de près de 7 % en pré-marché après une hausse des ventes de près de 50 % au T2, portée par une forte demande de services en intelligence artificielle.

    DuPont (NYSE:DD) a également affiché des gains précoces après avoir publié des bénéfices supérieurs aux attentes et donné des perspectives optimistes.

    En revanche, les actions de Caterpillar (NYSE:CAT) pourraient reculer après des résultats inférieurs aux prévisions, tandis que le fournisseur de télésanté Hims & Hers Health (NYSE:HIMS) devrait subir une pression après avoir manqué les estimations de revenus pour le trimestre.

    L’activité globale pourrait rester prudente alors que les investisseurs prennent du recul pour évaluer les récentes fluctuations du marché.

    Lundi, le marché a montré une forte dynamique haussière dès l’ouverture, les principaux indices récupérant une grande partie du terrain perdu lors des deux séances précédentes. Le Nasdaq a bondi de 403 points, soit 2 %, clôturant à 21 053,58, le S&P 500 a gagné 1,5 % pour terminer à 6 329,94 et le Dow a progressé de 1,3 %, clôturant à 44 173,64.

    Le rallye a été soutenu par des acheteurs opportunistes après la vente massive de la semaine dernière, qui avait fait reculer le Nasdaq et le S&P 500 bien en dessous de leurs records. La forte baisse de vendredi dernier a été déclenchée par des inquiétudes concernant les nouveaux tarifs du président Donald Trump, des données de l’emploi décevantes et une chute marquée des actions Amazon (NASDAQ:AMZN).

    L’optimisme des investisseurs quant au fait que les faibles chiffres de l’emploi pourraient inciter la Réserve fédérale à baisser les taux d’intérêt le mois prochain a également alimenté l’achat. Selon l’outil FedWatch du CME Group, la probabilité d’une baisse des taux d’un quart de point en septembre est passée à près de 92 % contre 63 % il y a une semaine.

    Sur le front des données économiques, le département du Commerce a rapporté une baisse de 4,8 % des commandes industrielles en juin, annulant la hausse révisée à 8,3 % de mai. Les économistes avaient prévu une chute de 5 % après la hausse initiale de 8,2 % de mai.

    Les actions des secteurs des réseaux ont mené les gains du marché, l’indice NYSE Arca Networking grimpant de 10 % à un nouveau record de clôture. CommScope (NASDAQ:COMM) s’est démarqué, s’envolant de 86,3 % après avoir annoncé la vente de son activité solutions de connectivité et câblage à Amphenol (NASDAQ:APH).

    Les actions aurifères ont également progressé, portées par la hausse continue du prix de l’or, ce qui a fait grimper l’indice NYSE Arca Gold Bugs de 4,7 %. Les secteurs des logiciels, du courtage et du matériel informatique ont également affiché de solides hausses, contribuant à un environnement de marché largement positif.

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  • Les actions d’Eutelsat gagnent près de 5 % après des résultats annuels et du quatrième trimestre supérieurs aux attentes

    Les actions d’Eutelsat gagnent près de 5 % après des résultats annuels et du quatrième trimestre supérieurs aux attentes

    Eutelsat (EU:ETL) a vu son cours grimper de près de 5 % mardi, après avoir publié des résultats annuels meilleurs que prévu, portés par une demande croissante pour ses services Internet par satellite auprès des clients gouvernementaux et entreprises.

    Pour l’exercice clos le 30 juin, le chiffre d’affaires total provenant des segments vidéo, connectivité et services gouvernementaux a atteint 1,23 milliard d’euros, soit une hausse de 0,8 % par rapport à l’année précédente et dépassant légèrement l’estimation consensuelle des analystes fixée à 1,21 milliard d’euros.

    La division satellites en orbite basse (LEO) a enregistré une forte progression de 84,1 % de son chiffre d’affaires sur un an, à 187 millions d’euros. Cette croissance est tirée par l’augmentation des contrats gouvernementaux, notamment liés aux opérations en Ukraine, ainsi qu’un intérêt accru de la part des gouvernements hors États-Unis, notamment Taïwan.

    Au quatrième trimestre, les revenus des activités principales d’Eutelsat ont atteint 326 millions d’euros, soit environ 5 % de plus que les attentes des analystes. Bien que le chiffre d’affaires organique ait reculé de 2,1 % sur un an, cette baisse est légèrement inférieure à celle de 2,2 % du trimestre précédent. Le segment vidéo reste cependant sous pression.

    L’EBITDA annuel s’est établi à 676 millions d’euros, surpassant les 625 millions d’euros prévus par les analystes.

    Pour l’avenir, Eutelsat prévoit une croissance de 50 % de ses revenus liés aux satellites LEO l’année prochaine, ce qui compensera partiellement les pertes de son segment traditionnel de satellites géostationnaires, sans toutefois les couvrir entièrement.

    La société a enregistré une perte nette de 1,1 milliard d’euros sur l’exercice, principalement due à des dépréciations d’actifs liées à son portefeuille de satellites géostationnaires.

    Les analystes de Morgan Stanley ont souligné que, bien que les actions d’Eutelsat restent très volatiles, elles ont progressé de plus de 30 % depuis le début de l’année, soutenues par une augmentation des dépenses de défense en Europe et les récentes annonces d’augmentations de capital.

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  • Le repli du secteur des services en France s’accélère en juillet

    Le repli du secteur des services en France s’accélère en juillet

    Le secteur des services français a connu un ralentissement plus marqué en juillet, la confiance des entreprises étant affectée par l’incertitude politique et une demande en baisse, selon un rapport de S&P Global publié mardi.

    L’indice PMI des services HCOB France, qui mesure les variations mensuelles de l’activité dans ce secteur, est tombé à 48,5 en juillet contre 49,6 en juin.

    Cette lecture indique le rythme de contraction le plus rapide depuis avril, tout chiffre en dessous de 50 signalant une contraction du secteur.

    L’enquête souligne que l’instabilité politique et la demande faible sont des facteurs clés contribuant à la détérioration des conditions dans le marché des services en France.

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  • Les prix du pétrole se stabilisent après de fortes baisses dues aux craintes sur la demande et à l’augmentation de la production de l’OPEP+

    Les prix du pétrole se stabilisent après de fortes baisses dues aux craintes sur la demande et à l’augmentation de la production de l’OPEP+

    Lors de la séance asiatique de mardi, les prix du pétrole sont restés quasiment inchangés, retrouvant un certain équilibre après des baisses marquées récentes provoquées par les inquiétudes liées à l’augmentation de la production et au ralentissement de la demande mondiale face à des vents économiques contraires croissants.

    Malgré de nouvelles menaces de sanctions américaines contre les acheteurs de pétrole russe, la baisse du marché a persisté, accentuée par le renforcement du dollar américain.

    À 21h23 ET (01h23 GMT), les contrats à terme Brent pour septembre ont légèrement baissé de 0,1 % à 68,72 dollars le baril, tandis que les contrats à terme sur le West Texas Intermediate ont reculé de 0,1 % à 65,23 dollars le baril.

    Surabondance d’offre et ralentissement de la croissance assombrissent les perspectives pétrolières

    Les contrats Brent et WTI ont atteint leur plus bas niveau de la semaine, entraînés par les craintes d’un excès d’offre. Ce week-end, l’OPEP+ a convenu d’augmenter la production de 547 000 barils par jour en septembre, marquant une deuxième hausse mensuelle consécutive.

    Cette augmentation continue de la production s’inscrit dans la volonté du groupe de revenir sur les coupes de production des trois dernières années et de récupérer des parts de marché perdues.

    Les perspectives d’une offre accrue contrastent avec les inquiétudes grandissantes concernant la faiblesse de la demande, alors que la croissance économique mondiale ralentit.

    Les tensions sur le marché ont été alimentées par des données décevantes sur l’emploi américain, suscitant des craintes d’une baisse de la consommation de carburant dans le plus grand consommateur de pétrole au monde. Les tensions commerciales liées aux politiques tarifaires du président Trump ont également ajouté de l’incertitude au contexte économique.

    Par ailleurs, la Chine — premier importateur mondial de pétrole — a enregistré la semaine dernière une contraction plus importante que prévu de son secteur manufacturier, renforçant les inquiétudes sur la demande future d’énergie.

    Un dollar plus fort a exercé une pression supplémentaire sur les prix du brut, bien que cela ait été partiellement compensé par des données économiques américaines récentes plus faibles.

    Les sanctions contre les acheteurs de pétrole russe maintiennent le marché en alerte

    Les prix du pétrole ont trouvé un certain soutien la semaine dernière après que le président Trump a annoncé des projets de sanctions plus strictes contre les acheteurs de pétrole russe en réponse à la guerre en cours en Ukraine.

    Trump a ciblé la Chine et l’Inde, principaux importateurs de pétrole russe, imposant un tarif de 25 % sur les importations indiennes et menaçant de sanctions plus sévères si les achats continuaient. Il a réitéré ces avertissements lundi.

    La perspective de sanctions plus sévères a apporté un certain élan haussier aux prix du pétrole, car de telles mesures pourraient encore réduire l’offre mondiale.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • L’or reste stable après le rallye, les investisseurs se focalisent sur les baisses de taux de la Fed et les tensions commerciales

    L’or reste stable après le rallye, les investisseurs se focalisent sur les baisses de taux de la Fed et les tensions commerciales

    Les prix de l’or sont restés stables mardi matin, faisant une pause après une forte progression sur plusieurs jours soutenue par des attentes croissantes de baisses des taux d’intérêt aux États-Unis et des inquiétudes liées aux tensions commerciales mondiales.

    À 01h00 ET (05h00 GMT), l’or au comptant se négociait quasiment inchangé à 3 372,25 $ l’once, tandis que les contrats à terme de décembre tournaient autour de 3 425,02 $, avec peu de mouvement.

    Des données d’emploi faibles stimulent l’or alors que les paris sur une baisse des taux Fed augmentent

    L’or a gagné en dynamique après des données économiques américaines faibles qui ont alimenté les spéculations d’une baisse des taux par la Réserve fédérale. Le métal a bondi de plus de 2% vendredi suite au rapport sur les emplois non agricoles de juillet, qui a montré une progression modeste de 73 000 emplois, bien en dessous des prévisions. De plus, les chiffres de mai et juin ont été révisés à la baisse, tandis que le taux de chômage est passé à 4,2%, renforçant les inquiétudes sur la santé de l’économie.

    “Les acteurs du marché voient désormais une probabilité de 92% que la Fed assouplisse sa politique en septembre”, selon l’outil CME FedWatch. Ce changement de sentiment a stimulé la demande pour l’or, actif refuge traditionnellement performant quand les taux baissent.

    Un léger rebond de l’indice du dollar américain après des pertes récentes a limité les gains, mais le contexte macroéconomique reste favorable à l’or.

    L’incertitude commerciale soutient l’or

    L’or a également bénéficié des évolutions des politiques commerciales. Le Représentant américain au Commerce Jamieson Greer a confirmé que les droits de douane étendus imposés par le président Trump à près de 70 pays devraient rester en vigueur, ravivant les inquiétudes sur les chaînes d’approvisionnement mondiales et les pressions inflationnistes.

    Par ailleurs, les marchés ont été secoués par la menace de Trump d’augmenter les tarifs sur l’Inde, en raison des achats de pétrole russe par le pays. Ces tensions géopolitiques renforcent le rôle de l’or comme valeur refuge en période d’incertitude.

    Marché des métaux mitigé

    Dans le secteur des métaux, les contrats à terme sur le platine ont reculé de 0,5% à 1 335,65 $ l’once, tandis que ceux sur l’argent ont légèrement progressé de 0,2% à 37,415 $ l’once.

    Du côté des métaux industriels, les contrats sur le cuivre à Londres ont gagné 0,3% à 9 720,65 $ la tonne, tandis que le cuivre américain est resté stable à 4,454 $ la livre.

    La semaine dernière, les prix du cuivre américain ont chuté de 20% après que le gouvernement ait exclu le cuivre raffiné des tarifs d’importation à 50% prévus, provoquant une forte volatilité.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.