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  • Ford s’associe à Renault pour renforcer ses activités européennes face à la montée des constructeurs chinois

    Ford s’associe à Renault pour renforcer ses activités européennes face à la montée des constructeurs chinois

    Ford (NYSE:F) a choisi Renault (EU:RNO) comme partenaire stratégique afin de consolider ses activités en Europe, au moment où les constructeurs automobiles chinois gagnent rapidement du terrain sur la scène internationale.

    « Nous savons que nous menons un combat pour notre survie dans notre industrie, et nulle part cela n’est plus vrai qu’ici en Europe », a déclaré Jim Farley, Directeur général de Ford, lors d’un point presse à Paris.

    Dans le cadre de cet accord, Renault fabriquera deux modèles électriques compacts pour Ford, le premier de cette nouvelle génération étant attendu dans les concessions européennes en 2028. Ford assurera la conception, tandis que les deux groupes co-développeront les véhicules en s’appuyant sur la plateforme technologique de Renault. La production sera réalisée dans les usines du constructeur français dans le nord du pays.

    Les deux entreprises étudient également des pistes de coopération supplémentaires dans le secteur des utilitaires, un pilier essentiel des activités de Ford en Europe.

    Cet accord représente une réponse stratégique à l’intensification de la concurrence des constructeurs chinois sur les marchés situés en dehors des États-Unis.

  • L’UE ouvre une enquête antitrust sur les pratiques d’IA de Google

    L’UE ouvre une enquête antitrust sur les pratiques d’IA de Google

    L’Union européenne a lancé une enquête antitrust officielle visant Google, filiale d’Alphabet (NASDAQ:GOOG), pour déterminer si ses pratiques dans le domaine de l’intelligence artificielle nuisent à la concurrence.

    Dans un communiqué publié mardi, la Commission européenne a indiqué qu’elle examinait si Google impose des conditions déloyales aux éditeurs et aux créateurs de contenu, pouvant limiter leur capacité à rivaliser.

    Les autorités étudient également des accusations selon lesquelles Google pourrait offrir à ses propres services un accès privilégié aux contenus en ligne, créant ainsi un avantage indu pour ses technologies d’IA par rapport aux concurrents.

  • Les actions d’Air France-KLM reculent après l’annonce par CMA CGM d’une obligation échangeable liée à sa participation

    Les actions d’Air France-KLM reculent après l’annonce par CMA CGM d’une obligation échangeable liée à sa participation

    Les actions d’Air France-KLM (EU:AF) ont nettement reculé mardi après que CMA CGM a annoncé son intention d’émettre une obligation pouvant être remboursée au moyen de la participation du groupe maritime dans la compagnie aérienne.

    À 10h22, le titre perdait 8,5 %.

    CMA CGM a indiqué vouloir lever environ 325 millions d’euros via un instrument convertible à trois ans, qui offrirait au groupe la possibilité de rembourser les obligations en actions Air France-KLM, en numéraire, ou par une combinaison des deux.

    Le géant marseillais du transport et de la logistique détient actuellement 8,8 % du capital d’Air France-KLM — une participation acquise en 2022 lors du lancement d’un partenariat dans le fret aérien. Cette collaboration a pris fin début 2024, et la période de lock-up sur les actions détenues par CMA CGM a expiré en février.

    « CMA CGM reste actionnaire d’Air France-KLM, confiant dans son équipe dirigeante, et conserve également un potentiel de hausse du cours de l’action Air France-KLM », a déclaré Ramon Fernandez, directeur financier de CMA CGM, dans le communiqué.

    « CMA CGM émet cette obligation échangeable qu’elle considère comme une option de financement rentable permettant au Groupe de diversifier ses sources de financement », a-t-il ajouté.

    Si CMA CGM choisissait de régler les obligations en actions, le remboursement serait effectué avec une prime comprise entre 30 % et 35 % par rapport au cours moyen de l’action Air France-KLM au 9 décembre, a précisé la société.

    Cette annonce intervient alors qu’Air France-KLM a récemment fait état d’un léger recul de son bénéfice net au troisième trimestre, invoquant des coûts plus élevés. La compagnie a enregistré un bénéfice de 768 millions d’euros sur la période, contre 780 millions un an plus tôt, malgré une hausse du chiffre d’affaires de 2,6 % à 9,21 milliards d’euros.

    Le résultat opérationnel s’est établi à 1,20 milliard d’euros, en hausse de 23 millions d’euros sur un an, mais inférieur aux 1,28 milliard d’euros attendus selon le consensus de la société.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les contrats à terme américains légèrement en hausse avant la décision clé de la Fed

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Les contrats à terme américains légèrement en hausse avant la décision clé de la Fed

    Les contrats à terme sur indices américains signalaient une ouverture légèrement positive lundi, laissant penser que les actions pourraient prolonger les gains modestes enregistrés en fin de semaine dernière.

    Ce début de séance est soutenu par un regain d’optimisme concernant l’évolution des taux d’intérêt, alors que les investisseurs attendent la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale cette semaine.

    La Fed devrait annoncer une baisse de 25 points de base mercredi, et les opérateurs surveilleront attentivement toute indication concernant de possibles réductions supplémentaires début 2026.
    D’après l’outil FedWatch du CME, le marché attribue une probabilité de 89,2 % à un tel mouvement cette semaine, mais seulement 70,3 % à un autre geste en janvier.

    Vendredi, Wall Street a montré une légère vigueur après une séance volatile jeudi, permettant au Nasdaq et au S&P 500 d’atteindre leurs plus hauts niveaux de clôture depuis un mois.
    Bien que les indices aient reculé après un début de séance solide, ils sont restés dans le vert :

    • Dow Jones : +104,05 points (+0,2 %) à 47 954,99
    • Nasdaq : +72,99 points (+0,3 %) à 23 578,13
    • S&P 500 : +13,28 points (+0,2 %) à 6 870,40

    Sur la semaine, le Nasdaq a progressé de 0,9 %, le Dow de 0,5 % et le S&P 500 de 0,3 %.

    La progression de vendredi est intervenue après la publication de l’indice d’inflation PCE, la mesure privilégiée par la Fed, qui est ressorti conforme aux attentes.
    Le département du Commerce a indiqué que le PCE avait augmenté de 0,3 % en septembre, comme en août.
    Sur un an, il est passé de 2,7 % à 2,8 %.

    L’indice PCE core, hors alimentation et énergie, a lui aussi progressé de 0,2 % pour un troisième mois d’affilée. Son taux annuel a légèrement reflué à 2,8 % contre 2,9 %, alimentant l’idée que l’inflation se modère.

    L’intérêt acheteur est toutefois resté mesuré, les marchés anticipant déjà un assouplissement monétaire.

    Au niveau sectoriel :

    • Les actions hardware ont poursuivi leur hausse (+1,7 %).
    • Les valeurs aériennes ont gagné 1,5 %.
    • Les secteurs réseaux, semi-conducteurs et logiciels ont également progressé.
    • À l’inverse, les valeurs sidérurgiques ont nettement reculé.
  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens évoluent en ordre dispersé avant une série de décisions des banques centrales

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens évoluent en ordre dispersé avant une série de décisions des banques centrales

    Les actions européennes ont affiché une performance mitigée lundi, les investisseurs se positionnant avant une semaine marquée par les décisions de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, de la Banque nationale suisse, de la Reserve Bank of Australia et de la Banque du Canada.

    La production industrielle allemande dépasse largement les attentes

    De nouvelles données publiées en Allemagne ont révélé une accélération inattendue de la production industrielle en octobre. Destatis a indiqué que la production avait augmenté de 1,8 % sur un mois, bien au-dessus des prévisions de 0,2 %, après une révision à la hausse à 1,1 % pour septembre.
    Sur un an, la production industrielle a progressé de 0,8 %, inversant la baisse de 1,4 % enregistrée en septembre.

    Indicateurs boursiers contrastés

    Le DAX a gagné 0,3 %, tandis que le FTSE 100 et le CAC 40 ont reculé de 0,1 % en début de séance.

    Mouvements notables parmi les entreprises

    • Kloeckner & Co (TG:KCO) a bondi de 18 % après avoir confirmé être en discussions concernant une éventuelle offre publique volontaire de la part du métallurgiste américain Worthington Steel.
    • Stabilus (TG:STM) a perdu 1,7 % après avoir annoncé une baisse de son bénéfice pour l’exercice 2025, touchée par des conditions de marché défavorables, les tensions tarifaires mondiales et des pressions accrues sur les prix dans l’automobile.
    • BNP Paribas (EU:BNP) a légèrement progressé après avoir conclu un accord pour céder sa participation de 25 % dans AG Insurance à Ageas pour 1,9 milliard d’euros.
    • L’Oréal (EU:OR) a reculé de près de 2 % après l’annonce qu’elle allait doubler sa participation dans Galderma.
    • Sandoz (LSE:0SAN) a gagné 3 % après avoir finalisé l’acquisition de Just-Evotec Biologics EU SAS auprès d’Evotec SE.
    • Smith & Nephew (LSE:SN.) a progressé de 1,6 % après avoir présenté un nouveau plan stratégique, des prévisions actualisées pour 2026 et des objectifs à horizon 2028 lors de son Capital Markets Day à Londres.
    • Unilever (LSE:ULVR) a chuté de 3,8 % après avoir finalisé la scission de sa division glaces, désormais cotée sous le nom The Magnum Ice Cream Company (TMICC) (LSE:MICC).
  • Meta proposera aux utilisateurs de l’UE une option avec moins de publicité personnalisée pour se conformer au DMA

    Meta proposera aux utilisateurs de l’UE une option avec moins de publicité personnalisée pour se conformer au DMA

    Meta (NASDAQ:META) va offrir aux utilisateurs de Facebook et Instagram dans l’Union européenne une nouvelle option permettant d’accéder à des versions des services affichant une publicité moins personnalisée, a annoncé la Commission européenne.

    Ce modèle donnera aux utilisateurs de l’UE la possibilité de choisir entre consentir au partage complet de leurs données afin de recevoir des annonces très personnalisées, ou partager moins d’informations personnelles et bénéficier d’une expérience publicitaire moins ciblée.

    Meta prévoit de déployer ces options pour les utilisateurs européens à partir de janvier 2026.

    Cette évolution intervient après plusieurs mois de dialogue entre la Commission et Meta, à la suite d’un constat de non-conformité rendu en avril 2025 concernant les règles du Digital Markets Act sur le choix des utilisateurs. Une fois le nouveau modèle mis en place, la Commission recueillera des retours sur son impact et son niveau d’adoption afin d’évaluer la conformité durable de Meta.

  • Le pétrole reste proche de ses plus hauts de deux semaines dans l’attente d’une baisse des taux de la Fed et face aux risques géopolitiques

    Le pétrole reste proche de ses plus hauts de deux semaines dans l’attente d’une baisse des taux de la Fed et face aux risques géopolitiques

    Les prix du pétrole sont restés proches de leurs plus hauts de deux semaines lundi, soutenus par les attentes croissantes d’une baisse des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine cette semaine — une décision que les investisseurs pensent susceptible de stimuler l’activité économique et donc la demande d’énergie. Parallèlement, les marchés surveillent les tensions géopolitiques risquant de perturber les approvisionnements en provenance de la Russie et du Venezuela.

    À 07h22 GMT, le Brent gagnait 14 cents, soit 0,22 %, à 63,89 dollars le baril, tandis que le West Texas Intermediate progressait de 15 cents, ou 0,25 %, à 60,23 dollars. Les deux contrats avaient terminé la séance de vendredi à leurs niveaux les plus élevés depuis le 18 novembre.

    Selon les données de LSEG, les marchés intègrent désormais une probabilité de 84 % d’une baisse d’un quart de point lorsque la Fed finalisera sa réunion mardi et mercredi. Cependant, les commentaires de certains membres du conseil suggèrent que cette réunion pourrait être l’une des plus divisées depuis des années, renforçant l’attention sur l’orientation future de la politique monétaire et les dynamiques internes de la banque centrale.

    En Europe, les pourparlers de paix concernant l’Ukraine avancent lentement, les divergences persistant sur les garanties de sécurité pour Kiev et le statut des territoires occupés par la Russie. De plus, les positions américaines et russes restent éloignées concernant la proposition de paix présentée par l’administration du président américain Donald Trump.

    Les analystes d’ANZ ont écrit dans une note client : « Les différents résultats potentiels de la dernière initiative de Trump pour mettre fin à la guerre pourraient entraîner une variation de plus de 2 millions de barils par jour dans l’offre mondiale de pétrole. »

    Vivek Dhar, analyste à la Commonwealth Bank of Australia, a déclaré qu’un cessez-le-feu constitue le principal risque baissier pour les prix du pétrole, tandis que des dommages prolongés aux infrastructures pétrolières russes représentent un risque haussier majeur.

    Dhar a ajouté : « Nous pensons que les préoccupations liées à une offre excédentaire finiront par se matérialiser, surtout à mesure que les flux de pétrole brut et de produits raffinés russes contourneront les sanctions existantes, ce qui amènera progressivement les contrats à terme vers 60 $/baril d’ici 2026. »

    Par ailleurs, selon des sources citées par Reuters, les pays du G7 et l’Union européenne discutent d’abandonner le plafonnement des prix du pétrole russe au profit d’une interdiction totale des services maritimes — une mesure qui limiterait encore davantage l’offre en provenance du deuxième plus grand producteur mondial.

    Les États-Unis ont également accru la pression sur le Venezuela — membre de l’OPEP — en frappant des navires accusés de transporter de la drogue illégale et en évoquant la possibilité d’une action militaire visant à renverser le président Nicolás Maduro.

    Pendant ce temps, selon des sources commerciales et des analystes, les raffineurs indépendants chinois ont intensifié leurs achats de pétrole iranien soumis à sanctions, en retirant les barils de stocks terrestres grâce à de nouvelles quotas d’importation, contribuant à atténuer l’excédent d’offre.

  • L’or progresse légèrement alors que le dollar s’affaiblit avant la réunion de la Fed

    L’or progresse légèrement alors que le dollar s’affaiblit avant la réunion de la Fed

    Les prix de l’or ont légèrement augmenté lundi lors des échanges asiatiques, soutenus par un dollar américain en repli et désormais proche de son plus bas niveau en plus d’un mois. Les attentes de plus en plus solides d’un assouplissement monétaire de la Réserve fédérale cette semaine ont apporté un soutien supplémentaire, même si la prudence des investisseurs a limité l’ampleur des gains.

    L’or au comptant gagnait 0,3 % à 4 208,55 $ l’once à 03h28 ET (08h28 GMT), tandis que les contrats à terme américains pour février reculaient de 0,3 % à 4 2371,10 $.

    Le recul du dollar soutient le métal, mais la prudence domine

    La faiblesse du dollar améliore l’attractivité de l’or pour les acheteurs étrangers, car un dollar plus bas réduit son prix effectif sur les marchés internationaux.

    Cette baisse provient des attentes croissantes d’un abaissement de taux lors de la réunion de la Fed des 9–10 décembre. Une série de données économiques faibles et la dernière baisse de l’inflation vendredi ont renforcé l’idée que les pressions inflationnistes continuent de s’atténuer.

    Les derniers indicateurs — y compris un rapport modéré sur l’emploi privé et un ralentissement du marché du travail — ont consolidé l’idée d’un futur assouplissement monétaire.

    L’indice PCE core retardé, la mesure préférée de la Fed, n’a montré qu’une faible progression mensuelle et un nouveau fléchissement du taux annuel.

    Des taux plus bas réduisent le coût d’opportunité de détenir de l’or, tandis qu’un dollar faible accroît la demande étrangère. Toutefois, la hausse récente des rendements des bons du Trésor a tempéré l’élan haussier du métal.

    Les commentaires contradictoires de la part des responsables de la Fed ont également entretenu l’incertitude : certains ont mis en garde contre un assouplissement trop rapide, laissant la porte ouverte à une décision moins accommodante.

    Les traders attendent désormais l’annonce de la Fed et la conférence de presse de Jerome Powell.

    Marchés des métaux calmes

    Les autres métaux précieux et industriels ont évolué dans des fourchettes étroites.

    Les contrats à terme sur l’argent ont reculé de 0,6 % à 58,708 $ l’once, tandis que le platine a baissé de 0,3 % à 1 663,60 $.

    Le cuivre de référence du London Metal Exchange a gagné 0,3 % à 11 681,20 $ la tonne, tandis que les contrats à terme américains sur le cuivre ont reculé de 0,7 % à 4,67 $ la livre.

  • Le dollar s’affaiblit avant la réunion de la Fed, tandis que l’euro progresse

    Le dollar s’affaiblit avant la réunion de la Fed, tandis que l’euro progresse

    Le dollar américain s’est légèrement replié lundi au début d’une semaine dominée par la réunion très attendue de la Réserve fédérale, alors que les marchés anticipent largement un assouplissement de la politique monétaire.

    À 04h15 ET (09h15 GMT), l’indice du dollar — qui compare le billet vert à un panier de six grandes devises — reculait de 0,1 % à 98,940, évoluant près d’un creux de cinq semaines.

    La réunion de la Fed monopolise l’attention

    Un abaissement des taux mercredi est largement anticipé, d’autant plus que l’indice PCE core publié avec retard vendredi a affiché une inflation plus faible qu’attendu. L’outil FedWatch du CME attribue désormais 88 % de probabilité à une baisse des taux.

    Aucun indicateur majeur n’est attendu lundi, mais le rapport JOLTS de mardi pourrait peser davantage, le rapport mensuel sur l’emploi étant publié après la réunion de la Fed.

    Les analystes d’ING ont affirmé : « La réunion de la Fed pourrait représenter un risque positif pour le dollar, car il semble difficile pour la Fed de valider les 90 points de base d’assouplissement intégrés dans les contrats à terme Fed Funds d’ici début 2027. »

    Ils ont ajouté : « Cependant, la nomination formelle potentielle de Kevin Hassett comme président de la Fed dans les prochains mois et les facteurs saisonniers maintenant le dollar faible en fin d’année devraient limiter son potentiel haussier. »

    L’euro progresse tandis que le discours de la BCE évolue

    L’EUR/USD a gagné 0,1 % à 1,1654, soutenu par une hausse de 1,8 % de la production industrielle allemande en octobre, bien supérieure aux attentes (+0,4 %).

    L’euro a aussi réagi aux déclarations d’Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, qui a indiqué à Bloomberg News que la prochaine décision de la BCE pourrait être une hausse des taux, et non un nouveau recul comme certains l’anticipent encore.

    Selon ING : « Ces remarques doivent probablement être interprétées à la lumière de son positionnement de faucon et peut-être comme un contrepoids à ceux de la BCE qui souhaitent encore un dernier abaissement des taux. »

    La banque a ajouté que Schnabel a laissé entendre que les prévisions de croissance pourraient être relevées dans la prochaine mise à jour.

    GBP/USD a reculé de 0,1 % à 1,3325, après avoir atteint un sommet de six semaines à 1,3385 la semaine dernière.

    Le yen recule après la révision du PIB japonais

    L’USD/JPY a progressé de 0,1 % à 155,44 après des données révisées montrant que l’économie japonaise s’est contractée plus fortement que prévu au troisième trimestre.

    Cette révision ne modifie toutefois pas les anticipations d’un relèvement des taux de la Banque du Japon la semaine prochaine, les marchés surveillant de près les salaires et la communication des responsables.

    Le surplus commercial chinois augmente ; le dollar australien reflue

    L’USD/CNY a légèrement augmenté à 7,0714 malgré un élargissement du surplus commercial chinois, porté par une hausse de 5,9 % des exportations, tandis que les importations n’ont progressé que modestement.

    L’AUD/USD a baissé de 0,1 % à 0,6636 après un fort mouvement haussier la semaine précédente alimenté par des données économiques solides.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Futures, L’accord de Netflix, le recul du PIB japonais et le rebond des exportations chinoises : ce qui influence les marchés aujourd’hui

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street, Futures, L’accord de Netflix, le recul du PIB japonais et le rebond des exportations chinoises : ce qui influence les marchés aujourd’hui

    Les contrats à terme américains ont légèrement progressé lundi avant la réunion de politique monétaire de la Fed, tandis que les investisseurs évaluent toujours les implications du projet de rachat des actifs TV, cinéma et streaming de Warner Bros Discovery par Netflix. Au Japon, l’économie s’est contractée davantage qu’annoncé, alors que les exportations chinoises ont fortement rebondi malgré un effondrement des ventes vers les États-Unis.

    Les futures américains conservent un biais positif

    À 02h40 ET :

    • Futures S&P 500 +13 points (0,2 %)
    • Futures Nasdaq 100 +87 points (0,3 %)
    • Futures Dow Jones +24 points (0,1 %)

    Tous les indices ont enchaîné leur deuxième semaine de hausse. Les investisseurs anticipent largement une baisse des taux mercredi après une publication PCE plus faible qu’attendu. L’outil FedWatch du CME estime la probabilité d’un assouplissement à 88 %.

    La véritable bataille pour l’accord Netflix – Warner Bros Discovery commence

    Netflix (NASDAQ:NFLX) a annoncé un plan d’acquisition de 72 milliards de dollars, mais les obstacles réglementaires s’annoncent considérables.

    Anthony Saglimbene (Ameriprise Financial) a déclaré : « Le principal facteur dans un accord d’une telle taille et complexité, ce sont les obstacles réglementaires que ces deux entreprises devront franchir. »

    Il a également affirmé : « Les deux entreprises s’attendent probablement à devoir céder des actifs pour conclure l’accord. Et selon moi, il y a largement la place pour cela. »

    Hollywood et les exploitants de salles préviennent que l’opération pourrait réduire les emplois et l’offre en salles.

    Le président Donald Trump a déclaré dimanche : « Je serai impliqué dans cette décision. »

    Il a souligné : « Ce sera aux économistes de le dire… Mais c’est une part de marché énorme. Il ne fait aucun doute que cela pourrait poser un problème. »

    Le PIB japonais plonge plus que prévu au T3

    • PIB annualisé : –2,3 % (vs –1,8 % initial)
    • PIB trimestriel : –0,6 %

    Le gouvernement estime que son plan de relance augmentera le PIB de 1,4 point par an sur trois ans.

    Malgré les chiffres faibles, la BOJ devrait tout de même relever ses taux la semaine prochaine.

    Les exportations chinoises bondissent en novembre

    • Exportations +5,9 %
    • Importations +1,9 %
    • Excédent commercial : 111,68 Mds $

    La forte croissance des ventes vers l’Europe, l’Australie et l’ASEAN compense l’effondrement vers les États-Unis (–29 %).

    Le pétrole reste proche de ses plus hauts de deux semaines

    Brent +0,2 % à 63,85 $, WTI +0,2 % à 60,20 $. Selon Reuters, G7 et UE envisagent une interdiction totale des services maritimes pour le pétrole russe, en remplacement du mécanisme de plafonnement des prix.