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  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens évoluent en ordre dispersé après l’accord commercial entre les États-Unis et l’UE

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens évoluent en ordre dispersé après l’accord commercial entre les États-Unis et l’UE

    Les marchés boursiers européens étaient partagés ce lundi, effaçant une partie de leurs gains initiaux malgré un accord commercial de dernière minute entre les États-Unis et l’Union européenne qui a permis d’éviter une guerre commerciale potentiellement coûteuse.

    L’accord, qui réduit les tensions commerciales, a d’abord soutenu le moral des investisseurs. Mais l’attention des marchés s’est ensuite tournée vers une semaine chargée, marquée par la décision de la Réserve fédérale américaine sur les taux d’intérêt, des données économiques clés et des résultats très attendus dans le secteur technologique.

    En début d’après-midi, le CAC 40 français progressait de 0,1 %, tandis que le DAX allemand reculait de 0,1 %. De son côté, le FTSE 100 britannique avançait de 0,2 %.

    Les valeurs technologiques se distinguaient, notamment ASML Holding NV (EU:ASML), qui bondissait de près de 5 % portée par un regain d’intérêt du marché.

    Du côté des entreprises, Heineken Holding (EU:HEIA) chutait de 4 %, malgré des résultats semestriels supérieurs aux prévisions.

    Le groupe français Pernod Ricard (EU:RI) perdait 1,4 %, tandis qu’Anheuser-Busch InBev (EU:ABI), fabricant de la bière Budweiser, reculait de 1,2 %.

    À l’inverse, Nordex (TG:NDX1), fabricant allemand d’éoliennes, gagnait 5 % après avoir annoncé 2,3 gigawatts de nouveaux contrats au deuxième trimestre 2025 — soit une hausse de 81,7 % par rapport à l’année précédente.

    Le distributeur britannique Tesco (LSE:TSCO) cédait plus de 1 % après avoir communiqué une mise à jour sur son programme de rachat d’actions.

    Avec plusieurs événements déterminants à venir — dont la réunion de la Fed et les résultats de sociétés comme Apple et Microsoft — les marchés pourraient rester volatils, avec de possibles rotations sectorielles.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme américains indiquent une force continue alors que Wall Street attend les accords commerciaux

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme américains indiquent une force continue alors que Wall Street attend les accords commerciaux

    Les contrats à terme des principaux indices américains annoncent une ouverture légèrement en hausse lundi, laissant penser que le rallye récent de Wall Street pourrait se poursuivre.

    Le sentiment des investisseurs est soutenu par un accord commercial surprise conclu ce week-end entre les États-Unis et l’Union européenne, ainsi que par des indications selon lesquelles les États-Unis et la Chine pourraient prolonger leur trêve tarifaire de 90 jours supplémentaires.

    L’accord USA-UE prévoit un tarif douanier de 15 % sur les importations européennes — une réduction significative par rapport aux 30 % initialement envisagés.

    Dans le cadre de cet accord, l’Union européenne s’est également engagée à acheter pour 750 milliards de dollars d’énergie américaine et à investir 600 milliards de dollars supplémentaires dans l’économie américaine.

    Malgré ce contexte commercial favorable, l’activité de marché pourrait rester calme en attendant l’annonce de la politique monétaire de la Réserve fédérale prévue cette semaine.

    Bien que la Fed soit largement attendue pour maintenir les taux d’intérêt inchangés, les investisseurs seront attentifs aux indices sur les orientations futures de la politique monétaire.

    Par ailleurs, le rapport mensuel sur l’emploi du Département du travail et les résultats trimestriels des géants technologiques Apple (NASDAQ:AAPL), Amazon (NASDAQ:AMZN), Microsoft (NASDAQ:MSFT) et Meta Platforms (NASDAQ:META) devraient jouer un rôle clé sur les marchés.

    La séance de vendredi dernier a enregistré de solides performances, le Dow rebondissant après des pertes initiales, tandis que le Nasdaq et le S&P 500 ont clôturé à de nouveaux sommets historiques.

    Le Dow a gagné 208,01 points (0,5 %) pour finir à 44 901,92, le Nasdaq a progressé de 50,36 points (0,2 %) à 21 108,32, et le S&P 500 a pris 25,29 points (0,4 %) pour terminer à 6 388,64.

    Cette dynamique reflète l’espoir que plusieurs accords commerciaux seront finalisés avant la date limite du 1er août fixée par le président Donald Trump pour l’extension des tarifs douaniers.

    À l’approche de cette échéance, de nombreux pays négocient pour éviter des tarifs élevés sur leurs exportations.

    Pendant ce temps, les marchés européens ont été moins optimistes, pénalisés par les inquiétudes sur les négociations commerciales et quelques résultats trimestriels décevants.

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  • Aperçu hebdomadaire des marchés : les principaux indices en hausse avant les résultats du Mag-7 et la date limite des tarifs douaniers

    Aperçu hebdomadaire des marchés : les principaux indices en hausse avant les résultats du Mag-7 et la date limite des tarifs douaniers

    Les marchés boursiers américains ont clôturé en hausse vendredi, bouclant une semaine solide soutenue par de bons résultats d’entreprises et des nouvelles encourageantes sur le commerce.

    Le S&P 500 a progressé de 0,40 % pour terminer à un record de 6 388,64, son 14e plus haut historique de l’année 2025. Le Nasdaq Composite a également atteint de nouveaux sommets en clôturant en hausse de 0,24 % à 21 108,32. Les deux indices ont atteint des pics intrajournaliers lors de la séance de vendredi. Parallèlement, le Dow Jones Industrial Average a gagné 208,01 points (0,47 %) pour finir à 44 901,92, se rapprochant à un quart de pourcent de son record de décembre.

    Sur la semaine, le Dow a gagné environ 1,3 %, le Nasdaq 1 % et le S&P 500 1,5 %.

    À venir, les investisseurs affrontent une semaine chargée d’événements pouvant influencer le marché. Au premier plan, la date limite du 1er août fixée par le président Donald Trump, lorsque des tarifs douaniers plus élevés seront appliqués à de nombreux partenaires commerciaux américains à moins que de nouveaux accords commerciaux ne soient conclus. Cette menace imminente pourrait introduire de la volatilité dans un marché autrement stable.

    Les événements clés incluent également la décision sur les taux de la Réserve fédérale, le rapport sur l’emploi de juillet, ainsi qu’une vague de résultats d’entreprises parmi les plus grandes sociétés américaines.

    « Le 1er août pourrait signifier des tarifs plus élevés pour près de 60 partenaires commerciaux américains, dont l’UE, qui est le plus grand bloc. Une augmentation du tarif moyen pondéré américain actuel d’environ 16 % à peut-être 21 % représente un risque, »
    ont souligné les économistes d’UBS dans leur note de marché.

    Concernant le rapport sur l’emploi, UBS s’attend à un résultat « morose » mais prévoit que les chiffres sous-jacents ne se détérioreront pas au-delà des niveaux de juin. La société prévoit 95 000 nouveaux emplois non agricoles pour juillet et une légère augmentation du taux de chômage à 4,2 %.

    « Une force inattendue des données pourrait bouleverser les prévisions de baisse des taux en septembre, »
    ont ajouté les analystes.

    Les géants technologiques du Mag-7 prêts à publier leurs résultats

    L’attention des investisseurs se tournera également vers les résultats de quatre des « Magnifiques Sept » : Apple (NASDAQ:AAPL), Microsoft (NASDAQ:MSFT), Amazon (NASDAQ:AMZN) et Meta Platforms (NASDAQ:META). Leurs résultats ont un poids significatif dans les principaux indices en raison de leurs grandes capitalisations boursières.

    Un résultat décevant ou des inquiétudes liées aux tarifs pourraient déstabiliser les marchés.

    « Tout peut bien se passer pour ce marché étonnamment résilient, »
    ont déclaré les stratèges d’Evercore ISI,
    « mais comme l’a montré notre sondage auprès des investisseurs vendredi dernier, la probabilité que des tarifs punitifs sur au moins un pays puissent ébranler les investisseurs est élevée, tout comme une réaction négative aux résultats des Mag-7. »

    Jusqu’à présent, environ 30 % des sociétés du S&P 500 ont publié leurs résultats du deuxième trimestre, avec une croissance des bénéfices attendue de 7,7 % en glissement annuel, selon LSEG IBES. Cela représente une amélioration par rapport à la prévision de 5,8 % faite début juillet.

    D’autres sociétés notables publiant cette semaine incluent Boeing (NYSE:BA), Spotify (NYSE:SPOT), Booking (NASDAQ:BKNG), Visa (NYSE:V), ARM Holdings (LSE:ARM) et Qualcomm (NASDAQ:QCOM).

    Avis des analystes sur la direction du marché

    Morgan Stanley a commenté :

    « La reprise progressive est en cours, et nous penchons davantage vers notre scénario haussier à 12 mois (7200). Les moteurs sont un effet de levier opérationnel positif, l’adoption de l’IA, la faiblesse du dollar, les économies d’impôt en espèces, des comparaisons de croissance faciles, une demande refoulée et des baisses de taux de la Fed. Le secteur industriel reste notre choix numéro un. »

    RBC Capital Markets a observé :

    « Même si le S&P 500 a progressé la semaine dernière, la capacité à gérer les tarifs n’a pas été uniforme. De plus, les discussions sur 2026 ont été assez rares jusqu’à présent. Cela nous semble logique puisque nous ne sommes qu’à la moitié de 2025, mais cela représente aussi un risque pour la trajectoire des cours boursiers si les perspectives des entreprises pour 2026 ne s’avèrent pas aussi optimistes que les investisseurs l’anticipent. Nous restons prêts à des conditions boursières agitées dans la seconde moitié de 2025. »

    Evercore ISI a ajouté :

    « Le FOMO et la spéculation ne signifient pas que les actions montent en ligne droite, même si cela augmente la probabilité que la destination à long terme soit plus élevée. Un marché valorisé à près de 25 fois les bénéfices et où la complaisance se reflète par une volatilité en forte baisse fait face à une série d’événements cette semaine. »

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  • L’or recule alors que BofA met en garde contre des déclenchements stop‑loss

    L’or recule alors que BofA met en garde contre des déclenchements stop‑loss

    Les prix de l’or ont reculé lundi après que Bank of America ait averti que de nouvelles baisses pourraient déclencher des ventes stop‑loss automatiques par les commodity trading advisors (CTAs). Le métal précieux a subi une pression prolongée cette semaine, atteignant des niveaux susceptibles de déclencher la liquidation automatique de positions.

    Les analystes de Bank of America estiment que de nombreux trend‑followers moyen‑long terme conservent des positions longues proches du maximum autorisé. Selon leurs modèles, « une nouvelle baisse de 1 % à 3,5 % des prix à terme de l’or pourrait accélérer les ventes stop‑loss alors que ces traders algorithmiques liquident leurs positions pour limiter les pertes ».

    La banque a également évoqué des tendances divergentes dans le cuivre. Elle prévoit davantage d’achats sur les contrats à terme cuivre du CME par des trend‑followers à long terme, tandis que les contrats sur le London Metal Exchange subiraient des ventes. Ces divergences reflètent des différences dans le sentiment et les comportements régionaux sur les marchés des métaux.

    Sur les marchés agricoles, Bank of America a identifié des positions extrêmes dans les dérivés du soja : l’huile de soja est qualifiée de « fortement surachetée », tandis que le tourteau de soja apparaît « fortement survendu ». Ces déséquilibres peuvent entraîner une forte volatilité lors d’ajustements de positions.

    La banque estime que le tourteau de soja est particulièrement susceptible de connaître un rebond. Une inversion haussière du sentiment pourrait déclencher une « couverture des positions courtes par les CTAs entraînant un mouvement significatif à la hausse », ce qui pourrait propulser les prix.

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  • Le dollar progresse, l’euro recule après l’accord commercial États-Unis-UE

    Le dollar progresse, l’euro recule après l’accord commercial États-Unis-UE

    Le dollar américain a gagné du terrain lundi tandis que l’euro reculait, suite à l’annonce d’un accord commercial entre les États-Unis et l’Union européenne, juste avant la réunion de la Réserve fédérale cette semaine.

    À 04h25 ET (08h25 GMT), l’indice du dollar, qui mesure la valeur du billet vert face à six autres devises majeures, progressait de 0,4 % à 97,815. Malgré cette hausse, l’indice était en passe d’enregistrer une perte hebdomadaire d’environ 1 %, sa performance la plus faible en un mois.

    Accord commercial soutient le dollar ; la Fed au centre des attentions

    Le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé le week-end dernier en Écosse cet accord commercial. Celui-ci fixe un tarif douanier de 15 % sur les biens importés de l’UE vers les États-Unis, soit la moitié des 30 % initialement menacés pour début août.

    Trump a ajouté que l’UE prévoit d’investir environ 600 milliards de dollars aux États-Unis et d’augmenter considérablement ses achats d’énergie américaine et de matériel militaire.

    Cet accord fait écho à celui conclu récemment avec le Japon, où Tokyo s’est engagé à investir 550 milliards de dollars aux États-Unis et a accepté un tarif de 15 % sur ses voitures et autres biens.

    Alors que les craintes liées aux effets négatifs des tarifs élevés s’estompent, l’attention du marché se tourne désormais vers des données économiques clés et les décisions des banques centrales, notamment la réunion imminente de la Fed.

    « Les données macroéconomiques américaines incluent les données sur l’emploi (JOLTS mardi, NFP vendredi), un probable rebond du PIB du deuxième trimestre mercredi et une inflation plus tenace jeudi (PCE de base de juin), qui devrait remonter à 0,3 % en glissement mensuel », ont écrit les analystes d’ING dans une note.

    « Cela devrait laisser la majorité de la Réserve fédérale à l’aise dans leur position prudente concernant les taux d’intérêt (réunion du FOMC mercredi) et voir un nouvel écart dans les probabilités d’une baisse des taux en septembre. »

    L’euro s’affaiblit davantage

    En Europe, l’euro a reculé de 0,5 % face au dollar à 1,1688, s’éloignant du plus haut niveau atteint en près de quatre ans en début de mois après l’annonce de l’accord commercial.

    « Avec un marché spéculatif déjà relativement long sur l’euro et un coût de portage annuel de 2 % face au dollar à gérer, nous ne voyons pas de raison pour que l’EUR/USD franchisse immédiatement les sommets à 1,1830 », ont déclaré les analystes d’ING.

    « Nous avons plutôt tendance à penser que l’EUR/USD glissera en dessous de 1,1700, voire jusqu’à 1,1600 si la Fed continue de résister à la pression pour baisser les taux ce mercredi. »

    Après la décision de la Banque centrale européenne de maintenir ses taux inchangés la semaine dernière, le marché se tourne vers les données du PIB du deuxième trimestre attendues mercredi et l’indice d’inflation flash de juillet vendredi, alors que les investisseurs évaluent la possibilité d’une baisse des taux en septembre.

    Par ailleurs, la paire GBP/USD a reculé de 0,2 % à 1,3409, face aux difficultés économiques du Royaume-Uni et aux projets gouvernementaux d’augmenter les impôts cet automne.

    « Nous privilégions un retest d’un support solide à 1,3370, en dessous duquel les pertes pourraient s’accélérer – peut-être jusqu’à 1,3150 si les données américaines/risque lié au FOMC cette semaine sont suffisamment positives pour le dollar », a déclaré ING.

    Le yen recule avant la décision de la BOJ

    Ailleurs, l’USD/JPY a gagné 0,4 % à 148,25, la Banque du Japon devant maintenir ses taux lors de sa réunion de jeudi, dans un contexte de clarté commerciale mondiale et d’incertitude politique interne.

    L’accord commercial États-Unis-Japon signé la semaine dernière pourrait donner aux décideurs une marge de manœuvre pour relever les taux plus tard cette année, estiment les analystes.

    Cependant, le sentiment des investisseurs au Japon reste prudent après la défaite de la coalition au pouvoir aux élections du Conseil des membres et les spéculations sur la possible démission du Premier ministre Shigeru Ishiba.

    L’AUD/USD a chuté de 0,7 % à 0,6521, rendant une partie des importants gains de la semaine dernière, tandis que l’USD/CNY a progressé de 0,1 % à 7,1738.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les prix du pétrole augmentent grâce à l’accord commercial UE-USA ; la stratégie de production de l’OPEP+ au centre des attentions

    Les prix du pétrole augmentent grâce à l’accord commercial UE-USA ; la stratégie de production de l’OPEP+ au centre des attentions

    Les prix du pétrole ont légèrement progressé lundi lors des échanges asiatiques, après avoir touché des plus bas de trois semaines la semaine dernière. Ce rebond a été déclenché par l’annonce d’un accord commercial entre les États-Unis et l’Union européenne, qui a apaisé les craintes de droits de douane et renforcé l’optimisme sur la demande future d’énergie.

    À 21h47 ET (01h47 GMT), les contrats à terme sur le Brent échéance septembre ont gagné 0,3 % à 68,66 dollars le baril, tandis que les contrats WTI (West Texas Intermediate) ont aussi progressé de 0,3 %, à 65,36 dollars le baril.

    Les creux enregistrés vendredi étaient principalement dus aux anticipations d’une hausse de l’offre pétrolière vénézuélienne sur le marché.

    « Un accord commercial entre les États-Unis et l’UE s’est avéré positif pour le sentiment ce matin sur le marché pétrolier. Cependant, l’attention se tournera probablement vers la politique de production de l’OPEP+ à partir de septembre », ont indiqué les analystes d’ING.

    L’accord UE-USA renforce la confiance des marchés

    Le cadre commercial annoncé dimanche instaure un droit de douane de 15 % sur les importations européennes vers les États-Unis — contre 30 % initialement proposé — et engage l’UE à acheter pour 750 milliards de dollars d’énergie américaine sur plusieurs années. L’accord prévoit également 600 milliards de dollars d’investissements de l’UE dans l’économie américaine et d’importants achats d’équipements militaires américains.

    En apaisant les tensions commerciales, l’accord devrait stimuler l’activité économique et le commerce international, soutenant ainsi la demande pétrolière via une hausse des besoins énergétiques industriels et de transport.

    Les dispositions énergétiques de l’accord soutiennent aussi les prix du pétrole en renforçant les perspectives de demande à long terme pour les exportations américaines, notamment le gaz naturel liquéfié et le pétrole brut.

    Avec la diminution des craintes d’une guerre commerciale, l’appétit pour le risque s’est amélioré, même si les investisseurs restent prudents à l’approche de la date limite des tarifs américains du 1er août, en quête de davantage de précisions sur la politique commerciale.

    En attente des plans de production de l’OPEP+ et de la réunion de la Fed

    Les hausses du pétrole sont limitées par les attentes d’une augmentation de l’offre mondiale. L’OPEP+ devrait augmenter modérément sa production en août, tandis qu’un assouplissement potentiel des sanctions américaines sur le Venezuela pourrait permettre au pétrole vénézuélien de revenir sur le marché.

    Un comité de l’OPEP+ doit se réunir lundi pour examiner la situation du marché avant la décision du 3 août sur les niveaux de production de septembre. Les rapports indiquent que le groupe prévoit une nouvelle hausse.

    « Nous nous attendons à ce que l’OPEP+ achève au moins le retour complet de 2,2 millions de barils par jour des réductions volontaires supplémentaires d’ici fin septembre », ont déclaré les analystes d’ING.

    « Cela correspondrait à une hausse de la production d’au moins 280 000 barils par jour en septembre. Cependant, il y a clairement de la place pour une augmentation plus agressive », ont-ils ajouté.

    Par ailleurs, la Réserve fédérale américaine entame mardi une réunion politique de deux jours, avec des attentes de maintien des taux d’intérêt. Les marchés suivront de près le ton de la Fed pour déceler d’éventuelles baisses des taux plus tard en 2025.

    Cette semaine sera aussi marquée par la publication de données économiques clés aux États-Unis, notamment l’indice des prix PCE de juin et le rapport sur l’emploi de juillet, qui influenceront le sentiment des marchés.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme de Wall Street progressent avant l’accord commercial UE-USA et les négociations sino-américaines

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme de Wall Street progressent avant l’accord commercial UE-USA et les négociations sino-américaines

    Les contrats à terme américains ont augmenté lundi suite à l’annonce d’un accord commercial majeur entre les États-Unis et l’Union européenne, dissipant les craintes d’une guerre commerciale susceptible de perturber les marchés mondiaux. L’attention se tourne désormais vers les pourparlers commerciaux entre les États-Unis et la Chine à Stockholm, où des sources médiatiques évoquent une possible prolongation de la trêve tarifaire entre les deux plus grandes économies mondiales. Cette semaine s’annonce cruciale avec la date butoir du 1er août pour la mise en place de tarifs “réciproques” américains, ainsi qu’une série de résultats d’entreprises, de données économiques clés et la décision de la Réserve fédérale sur les taux d’intérêt.

    Hausse des contrats à terme

    À 03h25 ET, les contrats à terme sur le Dow Jones ont gagné 146 points, soit 0,3%, ceux sur le S&P 500 ont progressé de 25 points (+0,4%) et le Nasdaq 100 a augmenté de 127 points (+0,5%).

    Vendredi dernier, le S&P 500 et le Nasdaq ont clôturé sur des niveaux records, prolongeant la dynamique haussière de Wall Street. Des résultats trimestriels encourageants et une plus grande visibilité sur la politique tarifaire américaine ont renforcé la confiance des investisseurs.

    Les marchés européens ont également terminé près de leurs plus hauts niveaux en quatre mois, donnant un élan favorable aux marchés américains.

    Détails sur l’accord commercial UE-USA

    Le président Donald Trump a annoncé dimanche en Écosse que les États-Unis et l’UE ont conclu un accord historique comprenant un tarif de 15 % sur la plupart des importations européennes.

    L’accord prévoit d’importants achats d’énergie et d’équipements militaires américains par l’UE, ainsi que des investissements substantiels dans l’économie américaine.

    “Ils acceptent d’ouvrir leurs pays au commerce sans tarif,” a déclaré Trump aux journalistes, ajoutant que l’UE achèterait “une grande quantité d’équipements militaires” aux États-Unis.

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a confirmé que le tarif de 15 % s’appliquerait de manière générale et a souligné que cette mesure aiderait à “rééquilibrer” le commerce entre les deux principaux partenaires. L’an dernier, les États-Unis ont importé pour 3,3 billions de dollars de biens, dont plus de 600 milliards provenant de l’UE.

    Cet accord devrait rassurer les investisseurs inquiets de la date du 1er août, quand les tarifs “réciproques” annoncés par Trump doivent entrer en vigueur. L’UE risquait des tarifs de 30 % et cherchait un accord zéro pour zéro.

    Extension probable de la trêve tarifaire sino-américaine

    Les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine, qui débutent lundi à Stockholm, devraient aboutir à une prolongation de 90 jours de la trêve tarifaire actuelle, a rapporté dimanche le South China Morning Post, citant des sources proches des discussions.

    La suspension temporaire de la plupart des tarifs expire le 12 août.

    Les discussions devraient porter sur les questions non résolues, notamment les inquiétudes américaines concernant la surcapacité industrielle chinoise, sans chercher de percées immédiates.

    Aucune des deux parties ne prévoit d’imposer de nouveaux tarifs ou d’intensifier le conflit durant cette extension. La Chine devrait également demander des clarifications à Washington concernant les tarifs de 20 % appliqués en mars sur les produits chinois pour des raisons liées au fentanyl.

    Trump a déclaré dimanche que les États-Unis sont “très proches” d’un accord avec la Chine, sans donner plus de détails. Un éditorial du People’s Daily a réaffirmé l’engagement de Pékin à résoudre les différends par un “dialogue égalitaire et un respect mutuel.”

    Le Financial Times a également rapporté que les États-Unis ont temporairement suspendu les restrictions à l’exportation de technologies vers la Chine afin de ne pas perturber les négociations.

    Semaine chargée pour les marchés

    Les analystes d’ING qualifient cette semaine de “massive” pour l’économie américaine, avec de possibles nouveaux accords commerciaux avant le 1er août. Plusieurs grandes entreprises technologiques, dont Meta Platforms, Microsoft, Apple et Amazon, publieront leurs résultats trimestriels.

    Parmi les événements économiques clés figurent le rapport sur l’emploi non agricole de juillet et un indicateur d’inflation surveillé de près par la Fed, qui annoncera sa décision sur les taux mercredi.

    Malgré les pressions de Trump pour des baisses de taux, la Fed devrait maintenir ses taux. Les responsables politiques adoptent une approche “attendre et voir”, en partie à cause des incertitudes liées aux tarifs et à leur impact économique.

    L’or reste stable

    Les prix de l’or sont restés stables lundi, soutenus par un dollar plus faible et un appétit pour le risque accru après l’accord commercial UE-USA.

    Les investisseurs restent prudents avant la décision de la Fed, attentifs aux indications sur les perspectives économiques pour le second semestre 2025.

    L’or au comptant a légèrement progressé de 0,1 % à 3 340,02 $ l’once, tandis que les contrats à terme sur l’or ont augmenté de 0,1 % à 3 396,67 $ à 03h29 ET.

    Les cours du pétrole ont bénéficié de l’optimisme lié à l’accord, tandis que le sentiment de risque a également soutenu le Bitcoin.

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  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens s’envolent après l’accord commercial États-Unis/UE ; Heineken publie ses résultats

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens s’envolent après l’accord commercial États-Unis/UE ; Heineken publie ses résultats

    Les marchés boursiers européens ont fortement progressé lundi après que les États-Unis et l’Union européenne ont conclu un accord commercial, mettant fin aux craintes d’une guerre tarifaire entre les deux grands blocs économiques et apportant plus de visibilité aux entreprises.

    À 03h05 ET (07h05 GMT), l’indice DAX en Allemagne a gagné 0,8 %, le CAC 40 en France a bondi de 1,2 % et le FTSE 100 au Royaume-Uni a progressé de 0,5 %.

    Détails de l’accord commercial UE-États-Unis

    Ce week-end, le président américain Donald Trump a annoncé un accord-cadre commercial avec l’Union européenne, prévoyant une taxe à l’importation de 15 % sur la plupart des produits européens. En contrepartie, l’UE s’est engagée à investir environ 600 milliards de dollars dans l’économie américaine.

    Bien que le taux de 15 % dépasse l’objectif initial de l’Europe d’obtenir une suppression totale des droits de douane, cet accord a été largement salué comme une meilleure alternative à la menace initiale d’un tarif de 30 %.

    Cet accord offre désormais aux entreprises la clarté nécessaire et évite un grave conflit commercial entre deux blocs qui représentent près d’un tiers du commerce mondial.

    Le taux de 15 % correspond à un accord similaire conclu la semaine dernière avec le Japon, illustrant la rapidité avec laquelle les pays cherchent à conclure des accords commerciaux avec les États-Unis avant la date limite du 1er août concernant de nouveaux droits de douane sur des produits en provenance de plusieurs pays.

    Par ailleurs, les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine doivent reprendre lundi à Stockholm, dans l’espoir d’aplanir les différends économiques entre les deux premières puissances mondiales.

    En parallèle, les contrats à terme sur le pétrole ont également progressé. Le Brent a gagné 0,8 % pour atteindre 68,18 dollars le baril, et le West Texas Intermediate a progressé de 0,8 % à 65,71 dollars le baril. La perspective de nouveaux accords commerciaux entre les États-Unis et leurs partenaires soutient les marchés de l’énergie à l’approche des échéances tarifaires.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Les actions Forvia grimpent de 10 % après un solide EBIT au premier semestre et une perspective confirmée

    Les actions Forvia grimpent de 10 % après un solide EBIT au premier semestre et une perspective confirmée

    Les actions du fabricant français de pièces automobiles Forvia (EU:FRVIA) ont bondi de plus de 10 % lundi après que la société a annoncé un EBIT meilleur que prévu pour le premier semestre 2025 et confirmé ses prévisions annuelles, démontrant ainsi une bonne résistance malgré un contexte économique difficile.

    L’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires de 13,48 milliards d’euros au premier semestre, légèrement supérieur aux attentes du marché fixées à 13,45 milliards d’euros. Les ventes organiques ont progressé de 1,1 %, avec une hausse de 2,9 % des ventes liées aux produits, portée par une augmentation de 10 % en glissement annuel dans le segment Électronique et une progression de 4 % dans le secteur des Sièges. Ces gains ont compensé des performances plus faibles dans la Mobilité Propre et les Solutions de Cycle de Vie.

    Le résultat opérationnel (EBIT) s’est élevé à 722 millions d’euros, dépassant le consensus fixé à 697 millions, avec une marge opérationnelle de 5,4 %, en hausse de 20 points de base par rapport à la même période l’an dernier. Le flux de trésorerie net a atteint 418 millions d’euros, soit plus du double des 191 millions attendus par les analystes. La dette nette s’établit à 6,43 milliards d’euros, conforme aux prévisions.

    « C’est un ensemble de résultats solides pour Forvia dans un contexte difficile, avec des ventes conformes au consensus et un EBIT supérieur de 4 %, porté par la dynamique dans les secteurs Électronique et Sièges, et un flux de trésorerie net bien au-dessus, grâce à une réduction significative des dépenses d’investissement », a écrit Vanessa Jeffriess, analyste chez Jefferies, dans une note à ses clients.

    Pour l’avenir, Forvia a confirmé ses objectifs pour 2025, maintenant une cible de marge opérationnelle comprise entre 5,2 % et 6,0 % et prévoyant un flux de trésorerie net minimal de 655 millions d’euros. Le chiffre d’affaires annuel est estimé entre 26,3 et 27,5 milliards d’euros, en tenant compte des taux de change constants.

    « Nous abordons le second semestre avec un sentiment prudemment optimiste pour Forvia, mais nous restons également conscients des risques à court terme avec une volatilité probable des appels d’offres décalée, après un environnement de production plus résilient au deuxième trimestre », ont commenté les analystes de Barclays.

    Ils ont néanmoins exprimé leur confiance dans la capacité de l’entreprise à gérer l’incertitude du marché, en soulignant les mesures internes d’économies qui devraient s’accélérer au second semestre. Barclays prévoit une amélioration séquentielle de la marge opérationnelle au cours de cette période et anticipe une marge annuelle de 5,5 %, ce qui reste dans la fourchette des prévisions de Forvia.

    Malgré cette solidité opérationnelle, Forvia a enregistré une perte nette de 269 millions d’euros au premier semestre, principalement liée à une dépréciation de 136 millions d’euros associée à sa coentreprise dans l’hydrogène. Cette charge fait suite à la décision de Stellantis (NYSE:STLA) de se retirer du segment de l’hydrogène, inversant un léger bénéfice réalisé à la même période l’an dernier.

    « Il est clair qu’une révision majeure doit être effectuée, et nous essayons d’agir de manière responsable », a déclaré le directeur financier Olivier Durand, précisant que les entreprises concernées explorent les options possibles pour cette coentreprise.

    Forvia a obtenu 14 milliards d’euros de nouvelles commandes au premier semestre, un chiffre légèrement inférieur aux 15 milliards de l’année précédente. Néanmoins, la société maintient ses objectifs de chiffre d’affaires pour l’année complète.

    « Plusieurs appels d’offres ont été reportés en raison d’incertitudes sur certains marchés, et nous en avons été impactés. J’attends une amélioration au second semestre », a ajouté Olivier Durand.

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  • L’industrie française des spiritueux pourrait échapper aux droits de douane dans le cadre de l’accord commercial UE–États-Unis

    L’industrie française des spiritueux pourrait échapper aux droits de douane dans le cadre de l’accord commercial UE–États-Unis

    Le ministre français du Commerce, Laurent Saint-Martin, a indiqué lundi que le secteur des spiritueux pourrait être exclu du nouvel accord commercial entre l’Union européenne et les États-Unis, qui prévoit une taxe à l’importation de 15 % sur la majorité des biens européens.

    Intervenant sur France Inter, Saint-Martin a exprimé ses réserves quant à l’équilibre global de l’accord, déclarant qu’il le considérait toujours comme « déséquilibré », un avis déjà exprimé par d’autres membres du gouvernement français.

    Si cette exemption se confirme, elle permettrait aux producteurs français de spiritueux d’échapper aux nouvelles mesures tarifaires envisagées dans le cadre de cet accord transatlantique.

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