Author: Fiona Craig

  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens rebondissent lundi après la forte chute de la semaine dernière liée aux inquiétudes sur les tarifs douaniers

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens rebondissent lundi après la forte chute de la semaine dernière liée aux inquiétudes sur les tarifs douaniers

    Les actions européennes ont connu un solide rebond lundi, après des pertes importantes lors de la séance précédente dues aux craintes d’une hausse des tarifs douaniers américains. Les investisseurs ont semblé ignorer la baisse de confiance des investisseurs dans la zone euro signalée en août.

    L’indice de confiance des investisseurs Sentix pour la zone euro est tombé à -3,7 en août, contre 4,5 en juillet, enregistrant sa première lecture négative depuis quatre mois.

    Le DAX allemand a progressé de 1,4 %, le CAC 40 français a gagné 0,9 % et le FTSE 100 britannique a augmenté de 0,5 %.

    La compagnie aérienne à bas prix Wizz Air Holdings (LSE:WIZZ) a progressé après avoir publié ses chiffres de passagers pour juillet 2025.

    La société postale néerlandaise PostNL NV (EU:PNL) a grimpé suite à la confirmation de ses prévisions annuelles.

    Lloyds Banking Group (LSE:LLOY) a également progressé alors qu’il évalue l’impact d’une décision de justice britannique concernant le financement automobile.

    En revanche, les actions de la banque suisse UBS (NYSE:UBS) ont reculé après l’annonce d’un règlement de 300 millions de dollars pour clore une affaire aux États-Unis liée à la vente abusive d’investissements liés aux prêts hypothécaires.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street prête à rebondir alors que les investisseurs cherchent des bonnes affaires après une forte correction

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Wall Street prête à rebondir alors que les investisseurs cherchent des bonnes affaires après une forte correction

    Les contrats à terme sur les actions américaines indiquent des gains pour l’ouverture de lundi, alors que les marchés cherchent à se remettre des fortes baisses enregistrées au cours des deux derniers jours de bourse.

    Après une correction importante qui a éloigné le Nasdaq et le S&P 500 de leurs plus hauts records récents, les chasseurs d’aubaines semblent prêts à revenir, achetant des actions à des prix réduits.

    La vente massive de vendredi a été provoquée par les inquiétudes croissantes concernant les nouveaux tarifs du président Donald Trump, une croissance décevante de l’emploi, ainsi qu’une forte chute des actions d’Amazon (NASDAQ:AMZN).

    Il y a aussi un certain optimisme prudent que le rapport d’emploi faible incitera la Réserve fédérale à baisser les taux d’intérêt lors de sa prochaine réunion en septembre.

    Les données de l’outil FedWatch du CME Group montrent que la probabilité d’une réduction de taux de 25 points de base est passée à 85,4 %, contre 63,1 % une semaine plus tôt.

    Après une baisse modérée jeudi, les actions ont chuté plus fortement vendredi. Les principaux indices ont tous reculé de manière significative, le Nasdaq et le S&P 500 s’éloignant nettement des niveaux records intrajournaliers atteints plus tôt dans la semaine.

    Bien que les marchés aient rebondi en fin de séance, la journée s’est terminée sur des pertes. Le Nasdaq a perdu 472,32 points, soit 2,2 %, clôturant à 47 231,61. Le S&P 500 a reculé de 101,38 points, soit 1,6 %, à 6 238,01, tandis que le Dow a perdu 542,40 points, soit 1,2 %, à 43 588,58.

    Sur la semaine, le Dow a plongé de 2,9 %, tandis que le S&P 500 et le Nasdaq ont baissé de 2,4 % et 2,2 %, respectivement.

    Le recul du marché est intervenu alors que les inquiétudes grandissaient sur l’impact économique des nouveaux tarifs imposés par la Maison-Blanche, allant de 10 % à 41 % sur les importations en provenance de dizaines de pays. Une taxe de 40 % sera également appliquée aux marchandises réexportées pour éviter les droits existants.

    « Les investisseurs ont été pris au dépourvu, ayant auparavant espéré que Trump reporterait les nouveaux niveaux tarifaires en attendant d’autres négociations avec les partenaires commerciaux étrangers », a déclaré Russ Mould, directeur des investissements chez AJ Bell. Il a ajouté : « Au lieu de cela, nous avons une profusion de nouveaux tarifs et cela signifie que les investisseurs doivent prendre le temps de comprendre ce que cela signifie pour les entreprises de leur portefeuille. »

    Le sentiment du marché a également été affecté par un rapport du Département du travail montrant que les créations d’emplois en juillet étaient inférieures aux attentes. Les emplois non agricoles ont augmenté de seulement 73 000, en dessous des 110 000 prévus, et les révisions à la baisse ont réduit les chiffres pour mai et juin de 258 000 au total.

    Avec les révisions, la croissance de l’emploi en mai a été révisée à 19 000 et celle de juin à 14 000. Le taux de chômage est passé à 4,2 % en juillet contre 4,1 % en juin, conformément aux prévisions.

    Les actions d’Amazon ont chuté de 8,3 % après que la société a livré de solides résultats pour le deuxième trimestre, mais a déçu les investisseurs avec des prévisions prudentes sur le revenu d’exploitation pour le trimestre en cours.

    Les compagnies aériennes ont subi de fortes pertes, l’indice NYSE Arca Airline ayant chuté de 4,3 %. Les actions des services pétroliers ont aussi été sous pression en raison de la forte baisse des prix du brut, reflétée par une baisse de 3,5 % de l’indice Philadelphia Oil Service.

    Les secteurs des matériels informatiques, du commerce de détail et des banques ont connu des baisses notables, tandis que les secteurs pharmaceutiques et immobiliers ont résisté à la tendance négative.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • L’or se stabilise après une forte hausse, soutenu par des données décevantes sur l’emploi aux États-Unis et les anticipations de baisse des taux

    L’or se stabilise après une forte hausse, soutenu par des données décevantes sur l’emploi aux États-Unis et les anticipations de baisse des taux

    Les prix de l’or sont restés globalement stables lundi, après une nette progression vendredi dernier, alors que les chiffres décevants de l’emploi américain ont ravivé les attentes d’un assouplissement monétaire par la Réserve fédérale.

    À 05h00 ET (09h00 GMT), l’or au comptant reculait de 0,1 % à 3 358,72 dollars l’once, tandis que les contrats à terme pour décembre gagnaient 0,4 % à 3 412,55 dollars.

    L’emploi américain pousse les haussiers à revenir sur l’or

    Vendredi, l’or a bondi de plus de 2 %, mettant fin à deux semaines de baisse. Cette hausse a été déclenchée par des chiffres de l’emploi bien en deçà des attentes : les créations d’emplois non agricoles n’ont atteint que 73 000 en juillet. Les données de mai et juin ont été révisées à la baisse.

    Le taux de chômage est monté à 4,2 %, alimentant les craintes d’un ralentissement économique. Les marchés évaluent désormais à 90 % la probabilité d’une baisse de taux dès septembre.

    Des taux d’intérêt plus faibles réduisent le coût d’opportunité de la détention d’or, ce qui renforce son attrait.

    Les tensions commerciales renforcent la demande de valeur refuge

    L’or bénéficie également d’une demande accrue en raison des incertitudes géopolitiques. Le président Trump a imposé des droits de douane étendus sur les importations en provenance du Canada, du Brésil, de l’Inde et de Taïwan.

    Ces mesures suscitent des inquiétudes inflationnistes et pourraient perturber les flux commerciaux mondiaux, renforçant ainsi l’intérêt pour l’or.

    Dans un contexte de faibles rendements et de politique monétaire incertaine, l’or conserve toute son attractivité.

    Des métaux en hausse, sauf le cuivre américain

    Le platine a gagné 1 % à 1 329,50 dollars, tandis que l’argent a progressé de 1,3 % à 37,417 dollars l’once.

    Les contrats de cuivre sur le LME ont augmenté de 0,9 % à 9 726,10 dollars la tonne, et ceux aux États-Unis de 0,8 % à 4,4695 dollars la livre.

    Malgré cela, les prix du cuivre aux États-Unis ont chuté de 20 % la semaine dernière, après l’annonce de l’exclusion du cuivre raffiné du projet de droits de douane de 50 %.

    « L’effondrement d’une opération d’arbitrage a laissé les États-Unis avec un énorme stock de cuivre », ont déclaré les analystes d’ING dans une note. « Les stocks de cuivre dans les entrepôts Comex atteignent leur plus haut niveau en 21 ans. Ce stock pourrait maintenant être réexporté. »

    « Cela sera baissier pour les prix du LME, car davantage de cuivre apparaîtra dans les entrepôts du LME », ont-ils ajouté.

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  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les futures américains progressent sur l’espoir d’une baisse des taux ; la saison des résultats soutient les marchés

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les futures américains progressent sur l’espoir d’une baisse des taux ; la saison des résultats soutient les marchés

    Les contrats à terme sur actions américaines ont gagné du terrain lundi, les investisseurs digérant les données décevantes sur l’emploi, les annonces commerciales et les perspectives des taux de la Fed. Des résultats solides ont aidé à compenser les inquiétudes liées au ralentissement économique et à l’impact des droits de douane, tandis que Berkshire Hathaway (NYSE:BRKa) a affiché une baisse de ses bénéfices due à une dépréciation de sa participation dans Kraft Heinz (NASDAQ:KHC).

    Les futures montent après la chute de la semaine dernière

    Après une forte chute vendredi, les futures américains ont rebondi lundi matin grâce aux espoirs d’une baisse des taux. À 03h00 ET, les futures Dow ont progressé de 128 points (0,3%), ceux du S&P 500 de 24 points (0,4%) et du Nasdaq 100 de 102 points (0,4%).

    Les pertes vendredi reflétaient l’inquiétude des investisseurs suite à un rapport sur l’emploi faible et à l’annonce par le président Donald Trump d’une hausse des droits de douane sur plusieurs partenaires commerciaux.

    Le moral s’est détérioré davantage après que Trump ait limogé la responsable du Bureau des statistiques du travail, l’accusant sans preuve de manipulation des chiffres. Les analystes préviennent que cela pourrait miner la confiance dans les données économiques américaines, surtout si son successeur privilégie la loyauté politique à la précision.

    Les chiffres décevants de l’emploi ont poussé les investisseurs à anticiper une probabilité d’environ 90 % d’une baisse des taux par la Fed en septembre. Cependant, les responsables de la Fed restent prudents et attendent de nouvelles données.

    Des résultats solides soutiennent les marchés

    Les résultats solides ont renforcé le sentiment. Des géants technologiques comme Meta Platforms (NASDAQ:META) et Microsoft (NASDAQ:MSFT) ont publié d’excellents résultats pour le T2, confirmant d’importants investissements dans l’intelligence artificielle.

    Ces performances ont apaisé certaines inquiétudes liées aux droits de douane, même si certaines entreprises prévoient des hausses de prix.

    Selon les données de LSEG citées par Reuters, la croissance des bénéfices des sociétés du S&P 500 au T2 est estimée à 9,8 % en glissement annuel, contre 5,8 % début juillet. Plus de 80 % des entreprises ayant publié leurs résultats ont dépassé les attentes, contre une moyenne de 76 % sur les quatre derniers trimestres.

    Cette semaine, les marchés suivront les résultats de Caterpillar (NYSE:CAT), McDonald’s (NYSE:MCD) et Disney (NYSE:DIS), membres du Dow proche de son record de décembre.

    Berkshire Hathaway affiche un recul des bénéfices suite à une dépréciation

    Berkshire Hathaway (NYSE:BRKa) a publié un bénéfice en baisse au T2, impacté par une dépréciation de 3,76 milliards de dollars sur sa participation dans Kraft Heinz (NASDAQ:KHC) et une baisse des primes d’assurance. Le bénéfice net est passé à 12,37 milliards de dollars contre 30,35 milliards l’an dernier, avec un chiffre d’affaires en baisse de 1,2 % à 92,5 milliards.

    Les gains dans Apple (NASDAQ:AAPL) et American Express (NYSE:AXP) ont compensé partiellement, tandis que le bénéfice opérationnel de BNSF a augmenté de près de 20 %, grâce à la réduction des coûts et à la baisse du carburant.

    La trésorerie de Berkshire s’élevait à 344 milliards à la fin du trimestre, légèrement inférieure au trimestre précédent mais proche d’un record. Buffett devrait céder sa place fin 2025, avec Greg Abel prêt à lui succéder.

    Pétrole stable malgré la hausse de production de l’OPEP+

    Les prix du pétrole sont restés stables lundi, malgré la confirmation par l’OPEP+ d’une hausse de la production en septembre. Le Brent a reculé de 0,2 % à 69,80 dollars le baril, le WTI a progressé de 0,3 % à 67,53 dollars.

    Le groupe a décidé d’augmenter la production quotidienne de 547 000 barils, pour le sixième mois consécutif, inversant les coupes de 2,5 millions de barils par jour, soit environ 2,4 % de la demande mondiale.

    Or et Bitcoin

    Les prix de l’or ont été mitigés lundi après un rebond de 2 % vendredi, porté par les attentes de baisse des taux Fed. L’or au comptant a reculé de 0,2 % à 3 355,69 dollars l’once, tandis que les contrats à terme de décembre ont gagné 0,3 % à 3 408,67 dollars.

    Le Bitcoin a progressé de 0,8 % à 114 567,60 dollars, se remettant d’une baisse de 3 % sur cinq jours.

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  • Le pétrole baisse alors que l’OPEP+ poursuit l’augmentation de la production et que les inquiétudes sur l’économie américaine s’intensifient

    Le pétrole baisse alors que l’OPEP+ poursuit l’augmentation de la production et que les inquiétudes sur l’économie américaine s’intensifient

    Les prix du pétrole ont reculé lundi en début de séance asiatique, après que l’OPEP+ a confirmé une nouvelle hausse de la production en septembre, soulevant des craintes d’un excédent d’offre dans un contexte de demande affaiblie aux États-Unis et de tensions commerciales croissantes.

    Cette baisse prolonge les pertes de vendredi, déclenchées par des chiffres de l’emploi américain inférieurs aux attentes, révélant un possible affaiblissement de la demande dans la première économie mondiale. Par ailleurs, les nouveaux droits de douane annoncés par le président Donald Trump sur plus de 70 pays ont accru l’incertitude sur les marchés.

    À 01h40 GMT, les contrats à terme sur le Brent pour septembre chutaient de 0,5 % à 69,35 dollars le baril, tandis que le WTI perdait 0,3 % à 65,90 dollars.

    Les deux indices de référence avaient pourtant terminé la semaine précédente en légère hausse, soutenus par les tensions géopolitiques liées aux éventuelles nouvelles sanctions américaines sur le pétrole russe.

    L’OPEP+ approuve une hausse de production en septembre

    Dimanche, l’OPEP et ses alliés ont convenu d’une augmentation collective de la production de 547 000 barils par jour en septembre, identique à celle d’août, marquant un sixième mois consécutif de hausse. Cette décision s’inscrit dans une stratégie progressive d’annulation des coupes instaurées pendant la pandémie.

    L’augmentation de juillet, de 411 000 barils par jour, confirme cette tendance vers une normalisation des niveaux de production. Les investisseurs s’inquiètent néanmoins de la possibilité que cette offre supplémentaire dépasse la demande dans les mois à venir.

    Des indicateurs faibles aux États-Unis alimentent les craintes sur la demande

    La nervosité des marchés est aussi alimentée par les derniers indicateurs économiques américains. Le rapport sur l’emploi publié vendredi a révélé seulement 73 000 créations de postes en juillet, bien en deçà des attentes, avec des révisions négatives sur les mois précédents.

    Les récentes annonces de Trump concernant de nouveaux droits de douane, dont l’entrée en vigueur est imminente, accroissent encore le risque d’un ralentissement du commerce mondial — un facteur crucial pour la demande de pétrole.

    Des indices PMI faibles signalent également un ralentissement de l’activité économique aux États-Unis, ce qui pourrait peser davantage sur la consommation d’énergie.

    Néanmoins, certains éléments géopolitiques ont temporairement soutenu les prix. Trump a menacé d’imposer des droits de douane supplémentaires sur les importations de pétrole russe par la Chine et l’Inde, tout en évoquant des actions militaires potentielles contre Moscou concernant le conflit en Ukraine.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Le dollar américain poursuit son repli, les marchés anticipent une baisse des taux de la Fed après l’emploi décevant

    Le dollar américain poursuit son repli, les marchés anticipent une baisse des taux de la Fed après l’emploi décevant

    Le billet vert a poursuivi sa chute lundi, affaibli par un rapport sur l’emploi aux États-Unis qui alimente les attentes d’un assouplissement monétaire dès le mois prochain.

    À 04:20 ET (08:20 GMT), l’indice du dollar—qui mesure sa performance face à un panier de six devises majeures—reculait de 0,2% à 98,722, après une chute de plus de 1% vendredi.

    Les données de l’emploi poussent à anticiper une baisse des taux

    Le rapport sur l’emploi de juillet a révélé seulement 73 000 créations de postes, bien en dessous des prévisions, avec des révisions à la baisse pour mai et juin. Le taux de chômage est remonté à 4,2%, ce qui a porté les probabilités d’une baisse des taux en septembre à près de 90%.

    Les rendements obligataires ont chuté : le taux à deux ans a touché un plus bas de trois mois à 3,6590%, et le rendement à dix ans est resté proche de son plus bas d’un mois à 4,2493%.

    Le président Donald Trump a réagi en licenciant Erika McEntarfer, directrice du Bureau des statistiques du travail, l’accusant—sans preuve—d’avoir falsifié les chiffres de l’emploi.

    “L’incertitude concernant la qualité des données américaines ne donne pas une bonne image des marchés d’actifs américains et pourrait ajouter une prime de risque supplémentaire au dollar et aux Treasuries,” ont déclaré les analystes d’ING. “Cette semaine, le Trésor émettra 125 milliards de dollars d’obligations à 3, 10 et 30 ans. À suivre.”

    Autre élément de pression : la démission surprise d’Adriana Kugler, membre du conseil de la Fed. Trump pourrait la remplacer par une personnalité plus conciliante, augmentant la pression sur le président de la Fed Jerome Powell.

    “Un remplacement anticipé de Kugler ajouterait probablement une voix dissidente à la position actuelle de la Fed sur le maintien des taux, accentuant la pression sur Powell,” ajoute ING.

    L’euro se replie légèrement après son rebond

    L’euro a baissé de 0,2% à 1,1563, après avoir fortement progressé vendredi. Le soutien près de 1,1400 pourrait continuer à attirer les acheteurs.

    “Avec un creux important autour de 1,1400, nous pensons qu’il y aura de nombreux acheteurs dans la zone 1,1500/1520 – si elle est atteinte. 1,1700 semble un objectif raisonnable pour les prochaines semaines,” a déclaré ING.

    En Espagne, le nombre de chômeurs a baissé de 0,1% en juillet à 2,40 millions—le plus bas niveau depuis juin 2008.

    La livre en recul, le franc pénalisé par les tarifs

    La paire GBP/USD a reculé de 0,1% à 1,3274. Le franc suisse a aussi souffert, avec USD/CHF en hausse de 0,6% à 0,8085, suite aux lourds droits de douane imposés par Trump à la Suisse.

    “Si ces tarifs persistent, ils renforceront les forces désinflationnistes en Suisse, où l’IPC reste proche de 0% en glissement annuel,” a commenté ING.

    Le yen cède du terrain, le yuan stimulé par les propos de Bessent

    Le yen a perdu du terrain après avoir bénéficié d’un afflux de capitaux vendredi. USD/JPY montait de 0,3% à 147,94.

    Le yuan chinois s’est raffermi, USD/CNY reculant de 0,5% à 7,1763, après que le Secrétaire au Trésor Scott Bessent a déclaré être “optimiste” quant à un accord commercial avec la Chine.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens rebondissent alors que les investisseurs misent sur une baisse des taux malgré les tensions commerciales

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens rebondissent alors que les investisseurs misent sur une baisse des taux malgré les tensions commerciales

    Les principales bourses européennes ont ouvert la semaine en hausse lundi, soutenues par un rebond technique après les lourdes pertes de la semaine précédente. Cette reprise intervient dans un contexte de tensions commerciales persistantes et d’anticipations accrues de baisses de taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine.

    À 07h05 GMT, le DAX allemand gagnait 0,3 %, le CAC 40 français progressait de 0,5 % et le FTSE 100 britannique avançait de 0,2 %. Ces hausses suivent une séance difficile vendredi dernier, où le Stoxx 600 paneuropéen a enregistré sa pire performance depuis avril, après l’annonce par Washington de nouveaux droits de douane à l’échelle mondiale le 1er août.

    Les investisseurs ignorent les tarifs douaniers et anticipent un assouplissement de la Fed

    Malgré les incertitudes liées à la politique commerciale américaine, les marchés semblent avoir profité de la correction de vendredi, en particulier après la publication de chiffres décevants sur l’emploi américain. Ce rapport a renforcé les attentes d’un assouplissement monétaire prochain de la part de la Fed.

    Les contrats à terme sur les Fed funds intègrent désormais environ 60 points de base de baisse d’ici la fin de l’année—contre 33 points avant la publication des chiffres. Une réduction dès septembre est désormais anticipée à 83 %.

    Le calendrier économique européen est quasi vide ce lundi, ce qui focalise l’attention sur les commandes à l’industrie aux États-Unis, susceptibles d’éclairer la situation des entreprises face aux tarifs.

    Sur le plan politique, Donald Trump a annoncé ce week-end la nomination prochaine d’un nouveau statisticien en chef, après avoir limogé Erike McEntarfer, ancienne responsable du Bureau of Labor Statistics, qu’il a accusée—sans preuve—d’avoir manipulé les chiffres de l’emploi.

    Résultats trimestriels : Senior se distingue, PostNL inquiète, UBS solde un contentieux

    La saison des résultats du deuxième trimestre s’essouffle, mais plusieurs entreprises ont publié lundi. Senior PLC (LSE:SNR) a annoncé une hausse de 32 % de son bénéfice avant impôts au premier semestre de l’exercice 2025, portée par ses divisions Aéronautique et Flexonics.

    Le groupe néerlandais PostNL (EU:PNL) a quant à lui enregistré une perte de 24 millions d’euros, plombée par une dépréciation de 40 millions liée au refus d’aides publiques pour son activité courrier. Cela soulève des inquiétudes quant à sa stratégie future.

    UBS (NYSE:UBS) a confirmé le paiement de 300 millions de dollars pour solder des litiges liés à la vente abusive de produits adossés à des prêts hypothécaires par Credit Suisse aux États-Unis.

    Le pétrole reste stable malgré l’augmentation de l’offre de l’OPEP+

    Les cours du pétrole sont restés proches de l’équilibre lundi malgré une nouvelle augmentation de la production décidée par les membres de l’OPEP+. Le groupe a convenu d’ajouter 547 000 barils par jour à l’offre mondiale en septembre, mettant ainsi fin de manière anticipée à ses réductions majeures de production.

    À 03h10 ET, le Brent reculait légèrement à 69,80 dollars le baril, tandis que le WTI progressait de 0,3 % à 67,53 dollars. Cette décision, conforme aux attentes, équivaut à une remise sur le marché d’environ 2,4 % de la demande mondiale de pétrole.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme de Wall Street en hausse après les résultats solides de Meta et Microsoft

    Dow Jones, S&P, Nasdaq, Les contrats à terme de Wall Street en hausse après les résultats solides de Meta et Microsoft

    Les contrats à terme des principaux indices américains indiquent une ouverture en hausse jeudi, alors que les investisseurs réagissent positivement aux solides résultats des géants technologiques Meta Platforms (NASDAQ:META) et Microsoft (NASDAQ:MSFT).

    Les actions de Meta ont bondi de 11,3 % en pré-marché après que la société a dépassé les attentes pour ses résultats du deuxième trimestre et a fourni des prévisions optimistes pour les revenus du troisième trimestre.

    Microsoft a également publié de solides résultats pour le quatrième trimestre fiscal, dépassant les estimations des analystes tant au niveau des bénéfices que du chiffre d’affaires, ce qui a fait grimper son action de 8,8 % avant l’ouverture.

    L’optimisme des investisseurs a été renforcé par un rapport du Département du Commerce montrant que les prix à la consommation ont augmenté en juin conformément aux prévisions.

    Après un léger recul mardi, la séance de mercredi a été relativement indécise, les principaux indices oscillant autour de la ligne de neutralité avant de clôturer sur des résultats mitigés.

    Le Nasdaq, très axé sur la technologie, a gagné 31,38 points, soit 0,2 %, pour clôturer à 21 129,67. Pendant ce temps, le S&P 500 a reculé de 7,96 points (-0,1 %) à 6 362,90 et le Dow Jones Industrial Average a perdu 171,71 points (-0,4 %) à 44 461,28.

    Les résultats mitigés de la journée sont survenus après que la Réserve fédérale a maintenu les taux d’intérêt inchangés dans une décision partagée, maintenant la fourchette cible du taux des fonds fédéraux entre 4,25 % et 4,50 %. La Fed a réaffirmé son double mandat visant à promouvoir le plein emploi et à maintenir l’inflation proche de 2 %.

    Deux membres de la Fed, Michelle Bowman et Christopher Waller, ont exprimé un désaccord, préférant une réduction de taux d’un quart de point.

    Lors de ses déclarations post-réunion, le président de la Fed, Jerome Powell, a déclaré qu’aucune décision concernant une baisse des taux en septembre n’avait encore été prise.

    « Nous ne décidons pas à l’avance », a déclaré Powell. « Nous prendrons en compte les données à venir avant de prendre une décision. »

    Sur le front de l’emploi, ADP a rapporté une croissance de 104 000 emplois dans le secteur privé en juillet, dépassant les prévisions de 78 000 nouveaux emplois.

    Le Département du Commerce a également publié des données solides sur le PIB, montrant que le produit intérieur brut réel des États-Unis a augmenté de 3,0 % au deuxième trimestre, dépassant l’augmentation prévue de 2,5 % et rebondissant après une contraction de 0,5 % au premier trimestre.

    Cette progression a principalement été due à une baisse des importations, ce qui augmente le PIB, et à une hausse des dépenses de consommation.

    Malgré cette solidité économique, la plupart des secteurs ont montré des mouvements limités, aboutissant à une journée de marché globalement calme.

    Les actions du secteur des transports ont chuté fortement, l’indice Dow Jones Transportation Average perdant 3,0 %.

    Les actions aurifères ont également reculé, l’indice NYSE Arca Gold Bugs chutant de 2,9 %.

    Les secteurs de l’énergie et de l’immobilier commercial ont peiné, tandis que les actions des semi-conducteurs et des sociétés de courtage ont progressé.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens affichent des performances contrastées entre résultats financiers et annonces sur les tarifs américains

    DAX, CAC, FTSE100, Les marchés européens affichent des performances contrastées entre résultats financiers et annonces sur les tarifs américains

    Les marchés boursiers européens ont affiché une performance mitigée jeudi, alors que les investisseurs digéraient une série de résultats d’entreprises et réagissaient à une série d’annonces commerciales et tarifaires du président américain Donald Trump, à la veille de son échéance de vendredi.

    Sur le plan économique, les données préliminaires ont montré que l’inflation est restée stable d’un mois sur l’autre dans deux régions clés d’Allemagne en juillet.

    Par ailleurs, le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a augmenté modestement de 2 000 en juillet, bien en dessous des attentes des analystes, selon l’office du travail.

    Côté marchés, l’indice FTSE 100 du Royaume-Uni progresse de 0,3 %, tandis que le DAX allemand recule de 0,2 % et le CAC 40 français perd 0,4 %.

    Parmi les valeurs individuelles, le géant français des services publics Veolia Environnement (EU:VIE) a chuté de 1,7 % après avoir annoncé une baisse de ses revenus au premier semestre.

    La société biopharmaceutique spécialisée Ipsen (EU:IPN) a perdu 4 % malgré de solides résultats semestriels et une révision à la hausse de ses prévisions annuelles.

    Le groupe hôtelier Accor (EU:AC) a plongé de 12 % après des revenus par chambre disponible (RevPAR) inférieurs aux prévisions au deuxième trimestre.

    Dans le secteur aérien, Lufthansa (TG:LHA) a progressé légèrement, tandis qu’Air France-KLM (EU:AF) a bondi de 4,3 % après avoir publié des bénéfices du deuxième trimestre supérieurs aux attentes.

    Le réassureur SCOR (EU:SCR) a chuté de 4 % malgré des résultats solides au deuxième trimestre.

    Bouygues (EU:EN), groupe diversifié dans la construction, les médias et les télécoms, a reculé de 3,4 % après avoir annoncé une faible croissance organique au premier semestre.

    La banque française Societe Generale (EU:GLE) a bondi de 6,2 % après avoir relevé ses objectifs de rentabilité pour l’année.

    Le laboratoire pharmaceutique Sanofi (EU:SAN) a cédé près de 3 % après avoir manqué les attentes de bénéfices pour le trimestre.

    Le fabricant allemand d’électronique de défense Hensoldt (BIT:1HENS) a progressé de 3,5 % suite à une solide croissance de ses revenus et un carnet de commandes record au premier semestre 2025.

    Le cimentier suisse Holcim (TG:HLBN) a gagné 1,1 %, dépassant les prévisions de bénéfices pour le trimestre.

    Le sidérurgiste ArcelorMittal (EU:MT) a perdu 3,6 % après avoir revu à la baisse ses prévisions de demande d’acier hors Chine.

    Les groupes aéronautiques Safran (EU:SAF) et Rolls-Royce Holdings (LSE:RR.) ont respectivement gagné 4 % et 9 % après avoir relevé leurs perspectives de bénéfices.

    British American Tobacco (LSE:BATS) a gagné plus de 1 % après un bénéfice semestriel supérieur aux attentes.

    Le géant de l’énergie Shell (LSE:SHEL) a progressé de 1,5 % après avoir annoncé des bénéfices trimestriels solides et un programme de rachat d’actions de 3,5 milliards de dollars sur les trois prochains mois.

    Ce contenu est fourni à titre informatif uniquement et ne constitue pas un conseil financier, en investissement ou de toute autre nature professionnelle. Il ne doit pas être considéré comme une recommandation d’acheter ou de vendre des titres ou instruments financiers. Tous les investissements comportent des risques, y compris la perte possible du capital investi. Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Vous devez effectuer vos propres recherches et consulter un conseiller financier qualifié avant de prendre toute décision d’investissement.

  • Air France-KLM s’envole de plus de 5 % après des résultats trimestriels solides et une bonne performance du réseau

    Air France-KLM s’envole de plus de 5 % après des résultats trimestriels solides et une bonne performance du réseau

    L’action d’Air France-KLM (EU:AF) a bondi de plus de 5 % jeudi après la publication de résultats du deuxième trimestre supérieurs aux attentes, portés par une performance robuste de son activité réseau et une amélioration des marges opérationnelles.

    La compagnie aérienne a enregistré un résultat d’exploitation de 736 millions d’euros au cours du trimestre, dépassant l’estimation consensuelle de 671 millions d’euros ainsi que la prévision de 707 millions d’euros d’UBS. Le bénéfice net a fortement augmenté, atteignant 606 millions d’euros contre 121 millions d’euros un an plus tôt. Le chiffre d’affaires s’est établi à 8,44 milliards d’euros, en hausse par rapport aux 7,95 milliards de l’année précédente, mais légèrement en deçà des attentes, qui étaient de 8,52 milliards d’euros.

    Le segment réseau a généré un bénéfice d’exploitation de 666 millions d’euros, contre 446 millions d’euros un an plus tôt, avec une amélioration de la marge de 2,9 points de pourcentage à 9,6 %. Dans le détail, Air France a enregistré un bénéfice d’exploitation de 490 millions d’euros, en nette hausse par rapport aux 195 millions d’euros de l’année précédente. À l’inverse, KLM a vu son résultat chuter à 197 millions d’euros contre 260 millions d’euros, affecté par des problèmes opérationnels et une hausse des coûts.

    Le trafic passagers, mesuré en sièges-kilomètres disponibles (SKO), a progressé de 2,8 %, tout comme le revenu unitaire par SKO, à taux de change constants. Sur les liaisons transatlantiques, le revenu unitaire passagers a grimpé de 5 %, bien que les rendements en classe économique restent sous pression. Le fret a également contribué positivement, avec un revenu unitaire par tonne-kilomètre disponible (TKO) en hausse de 2,6 %.

    La filiale low-cost Transavia a vu son bénéfice reculer à 12 millions d’euros contre 26 millions d’euros, pénalisée par les grèves en France, la concurrence accrue et la hausse des coûts. Par ailleurs, l’activité de maintenance (MRO) a généré 70 millions d’euros de bénéfice, contre 37 millions un an plus tôt, tandis que le programme de fidélité Flying Blue a apporté 60 millions d’euros, contre 54 millions précédemment.

    Air France-KLM a confirmé ses prévisions pour l’ensemble de l’année, tablant sur une croissance de capacité de 4 à 5 %, une hausse des coûts unitaires dans le bas de la fourchette à un chiffre, et des investissements compris entre 3,2 et 3,4 milliards d’euros.

    La couverture carburant pour 2025 a été relevée à 69 %, contre 67 % précédemment, avec une estimation de la facture énergétique portée à 6,9 milliards de dollars, contre 6,7 milliards.

    La dette nette s’élevait à 7,1 milliards d’euros à la fin du trimestre, contre 7,3 milliards d’euros à la fin du premier semestre. Le ratio dette nette/EBITDA s’est amélioré à 1,5x contre 1,6x l’année précédente.

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